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jeudi 4 novembre 2010

LE MÉTISSAGE

LE MÉTISSAGE

Je ne suis pas raciste (théorie hiérarchie des races) au sens actuel du terme si l'on se fonde sur la définition récente du dictionnaire. Je suis également contre la discrimination raciale, religieuse, sexuelle, physique, linguistique car personne n'est responsable de l'origine de ses parents et de ce qu'il est à la naissance donc de son ethnie et de sa race. La haine raciale n'a aucune raison d'être et ne règle rien. Chaque race mérite le respect.

En revanche, je pense que le métissage est l'ennemi de toutes les races car il détruit cette originalité, cette diversité, cette richesse culturelle propre à chaque race pour tendre vers le néant absolu de la conscience humaine.

Une volonté actuelle, bien affichée, dite du politiquement correct, émanant du microcosme politico-médiatique, pousse la population vers une fusion raciale. Une véritable injonction au métissage est présente dans la publicité, le marketing, les médias... Cette incitation, cette véritable propagande de corruption des esprits et du sang est un crime car l'intégration raciale, le métissage ne règle, d'une part aucun problème, d'autre part engendre une discrimination nouvelle et une haine au sein même des métisses qui ne savent plus à quelle race ils appartiennent, enfin chaque nouveau niveau de métissage entraîne une nouvelle discrimination. Au moindre soupçon d’affirmation identitaire, de revendication communautaire, le mot "métissage" est dégainé tous azimuts.

A la fin du XIXe siècle, alors que l’esclavage vient d’être aboli au Brésil, les classes dominantes prennent peur en constatant leur infériorité numérique face à cette population noire en liberté. Le gouvernement met alors en place la politique du « branqueamento » -littéralement «blanchiment »- et qui va consister à favoriser l’immigration massive subventionnée d’immigrés européens afin de stopper la croissance démographique de la population noire, en la diluant, en la blanchissant racialement, mais aussi culturellement. Le jeune pays d’Amérique latine en quête d’européanité, veut se débarrasser de l’influence « africaine », perceptible à toutes les échelles de la société. Mais au-delà de son idéologie eugéniste, le « branqueamento » répond surtout à une urgence sociale : neutraliser chez cette population à peine sortie de 4 siècles d’esclavage, toute velléité de révolte ou de vengeance. Le métissage a toujours servi à créer de multiples teintes, correspondant à autant de strates sociales.



Aujourd'hui, le "métissage" est bien devenu une idéologie politique et le mot est à la mode dans un certain microcosme, chez certains intellectuels parisiens et dans la sphère politico-médiatique. Les prises de parole à la télévision et les articles de presse mettent en avant le métissage afin que le concept d'une société métisse se "loge" bien dans les esprits des jeunes européens. Ce nouveau niveau de destruction se met en place pour assurer la dissolution de l'esprit et du sang européen submergés par l'esprit et le sang africain. C'est le métissage des consciences qui devance et prépare celui des corps. S'opposer au métissage est devenu officiellement un acte raciste alors qu'en réalité c'est un acte de bon sens, de respect et de préservation de la diversité culturelle. Avec l’apologie du métissage nous passons de l’intégration sociale du non-européen à son assimilation par "l’amour". Ce qui la rend encore plus efficace, car on ne peut pas se méfier d’un sentiment aussi noble que l'amour.

Nos "élites" politico-médiatiques ne cessent de répéter que « Le métissage c’est tellement beau », que « Le métissage est une richesse », que « Le métissage c’est l’avenir » mais le métissage c’est tellement beau par rapport à quoi ? Par rapport à qui ? Le métissage est une richesse pour qui ? Le métissage est l’avenir de qui ? Nous remarquons que ceux qui sont à l'origine de ce processus de mélange racial, se gardent d'appliquer à eux-mêmes ce qu'ils souhaitent fortement chez les autres, chez les européens.


Ce sont ceux-là même qui prônent, à grand renfort idéologique des droits de l'homme, le respect de la diversité culturelle qui veulent détruire l'originalité et l'authenticité des diverses cultures planétaires pour tendre vers une uniformité culturelle résultant d'un mélange aléatoire et discutable des esprits et des corps. Le métissage nous propose une monotonie ambiante et une grisaille culturelle permanente fort contestable. Demandez-vous qui a intérêt à ce que les européens se métissent et pourquoi ?

L'individu déjà "métissé psychologiquement" par la pression quotidienne d'un discours officiel des médias, des artistes et des politiques, ne verra aucune objection à se métisser racialement et ne sera plus qu'un consommateur zombi sans conscience de ce qu'il est et de ce qu'il n'est plus, puisque son sang ne sera plus enraciné. Ces individus ne se rendront même pas compte de cette situation puisque leur existence sans cette conscience aura ruiné leur âme. Les européens se perdent et ne s'en rendent même pas compte. C'est en effet un grand suicide assisté et programmé. Nous n'en sommes pas encore là car il est plus facile de métisser les esprits que les corps mais le danger est bien réel.


Le problème essentiel qui est en même temps le danger le plus grave, auquel sera de plus en plus confronté notre pays et toute l'Europe, est le mélange du sang européen avec le sang africain: Le métissage. Par le métissage chaque race perd de son originalité et de sa force. La rhétorique du Métissage vise à neutraliser l’affirmation identitaire de chaque race. Soit l'on affirme son engagement européen en s'opposant au métissage et l'on passe pour des racistes, soit l'on cède au chantage du métissage, de l’"antiracisme", de l’"ouverture", de la "tolérance" et l'on accepte de se "diluer" donc de disparaître car le métissage entraine une modification de chaque race et ne permet pas de retour une fois le sang mélangé.



Les publicitaires valorisent les métis en général et les mulâtres en particulier car ils présentent à leurs yeux deux avantages : Ils sont moins « noirs », (il paraît que la ménagère de moins de 50 ans est terrorisée par les Noirs) et en plus, ils mettent les marques à l’abri de toute critique de « lèse-diversité ». Comme toujours, le métissage joue parfaitement son rôle d’alibi, dans un mélange savant d’universalité neutralisante. Car si les Noirs osent contester cette sur-présentation des Métis aussi bien dans les médias généralistes que dans les médias communautaires, ils passent au mieux pour des « racistes-communautaristes-extrémistes », au pire on les accuse de vouloir « diviser le peuple Noir ». Ce qui crée des tensions intra-communautaires opposant ceux qui dénoncent ces manipulations et cette aliénation à ceux, toujours plus nombreux, qui font le choix de conjoints blancs et d’enfants à la peau claire et aux cheveux lisses. Résultats des courses de la « diversité » : Les Métis (les mulâtres surtout) sont instrumentalisés pour accélérer le processus de métissage.


Beaucoup de femmes noires ont une fascination des teintes claires et affirment ainsi au sein de leur propre communauté noire, la suprématie des canons de beauté blancs et toutes les valeurs y attenant. Les populations noires sont bien plus occupées à s’auto-dénigrer, à s’aliéner et à se battre entre-elles, qu’à se focaliser sur leurs concepts de vie. L'idéologie du métissage sert à créer chez les Noirs l’illusion d’une proximité, d’une blancheur accessible, d’un lien social et affectif avec les Blancs. Les métisses forment une classe intermédiaire, en quête de reconnaissance et d’élévation sociale. Pour les Noirs, l’idéologie du métissage fonctionne sur le principe de « la carotte et du bâton ». La carotte de l’ascension sociale et raciale, de l’élévation vers une blancheur salvatrice et le bâton d’une négritude humiliante et marginalisante.

Les plaies de l’esclavage (erreur et crime historique) et de la colonisation (erreur et crime historique) étant encore grandes ouvertes, le microcosme politico-médiatique se pare des habits de l’humanisme et de l’universalité. La Science qui a été pendant des siècles la caution de l’asservissement des peuples en leur niant toute humanité, déclare aujourd'hui que «les races n’existent pas ». Le métissage en est la «preuve», il est le symbole de «l’amour entre les peuples », de « l’universalité » dans le nouvel ordre mondial.


Le métissage est bien l'ennemi de toutes les races. Comment affirmer la fierté d’une identité que l’on dilue ?

La recette est immuable et la rhétorique du métissage redoutable car comment se rebeller contre le système lorsque l’enfant qui sort de ses propres entrailles est métisse?

On est toujours dérouté et amusé face aux attitudes paradoxales de tous ces artistes noirs ou sportifs noirs (footballeurs, athlètes...) français et étrangers qui tiennent les discours les plus extrêmes contre la domination blanche et qui, par leurs choix de vie, se font les vecteurs du métissage en s'affichant aux bras de créatures le plus souvent blondes et écervelées. La plupart d’entre-eux parvient par une impressionnante dissociation mentale, à prôner, quasiment dans la même phrase, désaliénation et mixité, rejet des valeurs blanches et métissage. En effet, la véritable force de cette propagande en faveur du métissage vient du fait que ce sont les Noirs eux-mêmes qui en sont souvent les prophètes aidés des médias. « Le métissage c’est le futur », « le métissage c’est l’avenir », formules magiques répétées sans la moindre réflexion et surtout sans la moindre logique. Comment, en effet, un peuple peut-il voir son avenir dans sa propre dilution ?


Qui a jamais entendu un Japonais vanter le métissage ? Qui songerait à dire à un restaurateur chinois de proposer du cassoulet à son menu, histoire d’être plus « ouvert » ? Pour les médias et les politiques, le communautarisme et la spécificité culturelle sont des caractéristiques naturelles, voire admirables lorsqu’elles sont véhiculées par d’autres peuples mais en aucun cas lorsqu’elles sont prônées par les Blancs sur leur propre sol.


Le métissage corrompt le corps mais aussi l'âme car l'âme s'abaisse à mesure que le sang est mélangé. Le métisse n'a plus de repère identitaire et son âme est vagabonde. C'est donc le danger le plus grave car une fois le processus engagé à grande échelle, les conséquences sont catastrophiques pour la survie de l'originalité européenne. La nature a fait qu'il existe sur Terre différentes races riches de leurs particularismes. C'est justement ces différences raciales qui font la richesse culturelle, cette conscience de l'autre et de ce que l'on est soit-même. Seul un sang homogène permet un équilibre de la conscience de soit. Pour avoir conscience d'être européen ou africain, il faut nécessairement un repère, un moyen de comparaison. L'homme a en effet besoin d'enracinement pour avoir conscience de ce qu'il est. Sans aucun repère l'homme n'a plus cette conscience de soi. Les races, par leur originalité, sont ce repère utile et nécessaire à l'équilibre psychique de tout homme. Ne pas respecter les lois naturelles et aller contre la diversité raciale est un crime contre l'homme, contre l'humain, contre l'humanité. Ce sont les inégalités et les différences qui font la richesse des races. Les criminels sont ceux qui invitent notre jeunesse à se métisser car le métissage détruit les races et leur originalité. Je suis pour la préservation des identités et ne souhaite détruire aucune race car toutes les races appartiennent à l'espèce humaine et mérite d'exister en conservant leur cohésion.

Défendre notre identité, défendre notre sang, n'implique aucune hiérarchie dans la valeur humaine. En effet, ce n'est pas considérer que certaines races sont supérieures et que d'autres sont de ce fait inférieures mais c'est simplement préserver la spécificité de chacune. C'est être également en faveur de la diversité culturelle, du pluralisme identitaire car chaque peuple a le droit de s'épanouir sur son propre sol sans être parasité et mis en danger par un autre.


Je le dit à nouveau, vouloir préserver l'originalité de son sang n'implique et ne sous-entend nullement une supériorité d'une race sur une autre race. Les races et les hommes sont, par le fait même de la nature, inégaux sur le plan physique (comme on le voit dans le sport) et sur le plan moral et spirituel mais ces inégalités n'impliquent aucune hiérarchie de la valeur humaine. Chaque race a des aptitudes qui lui sont propres et qu'elle doit protéger pour garantir la diversité et donc la richesse de l'espèce humaine. Si la nature (ou une volonté divine) a donné à la Terre une telle diversité de races ou de types ce n'est certainement pas pour aboutir à un métissage des esprits et des sangs. Chaque race doit justement préserver ses différences qui font son originalité et la richesse multiculturelle de l'espèce humaine. En outre, aucune race doit être montrer en modèle de civilisation (et certainement pas « les Blancs »). Chaque race a son originalité et doit être respectée pour cela.


Les projections démographiques fondées sur les politiques d'immigration américaine et européenne, ainsi que sur les informations fournies par nos sens lorsqu'on marche dans les rues, nous montrent un triste moment présent, prometteur d'un avenir catastrophique pour notre peuple.

Dans un siècle, peut-être moins, les européens, ceux dont l'ascendance remonte aux sous-races nordique et alpine de l'Europe, auront cessé d'exister en qualité d'entité cohésive. La rapidité de la fin dépendra des taux d'immigration, des différentiels de taux de natalité entre les groupes ethniques, et des taux de naissances multiraciales. Mais le résultat final est acquis si nous poursuivons notre route actuelle. Je pense que nous la poursuivrons et même à vitesse soutenue. Nous devons être conscients de ce qui va nous arriver.

Toute discussion franche du résultat, la submersion de la race qui produisit la première et peut-être la seule civilisation technologique du monde, est ordinairement interdite par des mots comme «raciste», «fanatique», et «xénophobe». Ni le système politico-médiatique, juridique et moral défectueux qui impose ce silence, ni les gens qui soutiennent ce système ne survivront à la disparition de l'esprit européen.

Quand l'Europe biologique et quand l'esprit européen auront disparu, les responsables du génocide des européens seront emportés également dans ce cataclysme biologique.


Aujourd'hui, notre système moral est défectueux. La première question que nous devons poser est de savoir s'il est moral pour les groupes ethniques tout comme pour les individus de chercher à survivre. Et si c'est le cas, quelles sont les actions morales que nous pourrions entreprendre pour assurer la survie? Quelle doit être la base morale de notre civilisation si elle ne veut pas disparaître?

Entre Nature et moralité:
Le dilemme des européens est le produit d'un profond malentendu concernant la nature et la moralité. Cela vient d'une part de la croyance erronée et sentimentale selon laquelle l'altruisme entre parents et à l'intérieur d'un groupe pourrait être étendu à la totalité de l'humanité, d'autre part d'une incapacité à accepter le rôle des facteurs génétiques pour définir le tempérament et le potentiel humains.

Les règles qui gouvernent le débat public au sein du microcosme politico-médiatique ne sont pas fondées sur la science ou l'expérience humaine mais consistent en affirmations moralistes dérivées d'une vision du monde enraciné dans l'égalitarisme radical. Les conséquences à long terme de l'adhésion à ces principes sont rarement examinées, encore moins soumises à un examen scientifique.

La plupart des européens seront d'accord avec le fait qu'un sens inné du bien et du mal joue un rôle clé dans notre système moral , un système qui valorise la valeur individuelle et la loyauté réciproque. La tragédie de cette vision morale est qu'elle a été étendue au monde en général et qu'elle est devenue une menace pour la survie du "type" européen.
L'universalisme est l'altruisme pratiqué sans discrimination.
L'universalisme -un Monde unique sans frontières ni distinctions- est impossible. Les groupes qui pratiquent l'altruisme illimité, sans aucune pensée d'auto-préservation, seront désavantagés dans la compétition de la vie et donc éliminés avec le temps en faveur de ceux qui limitent leur comportement altruiste à une plus petite partie de l'humanité, habituellement leur propre parenté génétique, dont ils reçoivent des bénéfices réciproques.

Représentez-vous un monde où l'évolution sociale ne serait pas allée plus loin que l'égoïsme ou l'individualisme. Quand la structure familiale apparaît sur la scène, qu'est-ce qui compte pour sa persistance? Ce doit être que le coût des sacrifices que les individus font pour leurs parents est plus que compensé par le gain réalisé à travers la solidarité familiale ...

L'universalisme ne peut pas survivre dans une compétition avec la discrimination.

Il ne faut pas oublier que l'évolution biologique a été rendue possible par la discrimination. Même la simple survie en l'absence de changement évolutionniste dépend de la discrimination. Si les universalistes parviennent à leurs fins, la discrimination sera abandonnée (ou remplacée par une discrimination "positive" systématique c'est à dire en faveur des "types" non-européens).

Même la plus modeste impulsion vers le conservatisme devrait nous conduire à contester la sagesse de l'abandon d'un principe qui a si bien fonctionné pendant des milliers d'années.


Les groupes non-européens, lesquels conservent presque tous leur cohésion en tant que groupes distinctifs et discriminants, tirent grand profit de l'exploitation de la richesse économique et l'ordre social européen. Des bénéfices que beaucoup ne peuvent manifestement pas créer par eux-mêmes.

Quand cette tendance cohésive est placée en compétition avec l'altruisme européen d'auto-sacrifice, cela aura pour résultat, d'une part que les Européens seront remplacés par des groupes agissant dans leur propre intérêt, d'autre part c'est la destruction biologique du "type" européen qui nous attend.

Comme ceux qui nous remplacent ne maintiennent pas, par définition, nos règles morales -- car s'ils le faisaient, ils ne nous remplaceraient pas -, notre système moral défectueux disparaîtra avec nous.

L'altruisme universel et auto-sacrificateur mis en place par nos politiciens condamnent à mort les européens.

La «race cosmique»

Le rêve d'une utopie dans laquelle prévaudrait l'harmonie raciale ne s'est jamais réalisé. Aujourd'hui, l'empiètement racial est une menace pour l'existence même du "type" européen.
Pour le libéralisme moderne les différences raciales ne comptent pas et sur la base de ce diktat du "politiquement correct", les libéraux se lancent dans la transformation des USA en une société multiraciale, intégrée, aveugle à la race.

Mais cette politique a eu pour conséquence de créer tellement de conscience raciale, de conflits raciaux et d'inégalités raciales que ces mêmes libéraux en ont conclu que la seule manière de surmonter ces problèmes était de fusionner toutes les races en une seule. Les mêmes gens qui ont toujours dénoncé comme des fanatiques extrémistes tous ceux qui mettaient en garde contre la dilution raciale de l'Amérique blanche proposent maintenant non seulement la dilution de l'Amérique blanche, mais son élimination complète. L'idéologie aveugle à la race a conduit directement à la proposition la plus racialement consciente et génocidaire de l'histoire de l'humanité dirigée ouvertement contre les Blanc.
Du projet d'une Amérique où coexistent de multiples races (multiraciales) on passe à un projet d'une Amérique où les races ne coexistent plus simplement mais fusionnent totalement par le métissage.

Ce changement de stratégie est mis en lumière par un article de couverture d'une édition spéciale du Time à l'automne 1993. L'article montre l'image de synthèse d'une femme représentant le mélange de tous les éléments ethniques de la population des USA dans leurs proportions respectives. Le message subliminal véhiculé par cet androïde féminin virtuel, manifestement encore d'ascendance européenne prédominante, est: «N'ayez pas peur, c'est sans danger». Ou, dans l'idiome actuel du multiculturalisme: «Célébrons notre diversité». Mais cette image représente la destruction totale de la diversité et non sa préservation. Cet androïde créé par ordinateur est un mensonge. La base de la population américaine est en cours de changement rapide. Les Blancs ont maintenant moins d'enfants, et il y a donc moins de Blancs en âge de procréer que le Time le dit. Cela est valable dans le monde entier. La question est, quel serait le résultat si ce plan était mis en œuvre à une plus grande échelle, poussé à sa conclusion logique dans un monde sans frontières? L'androïde de Time n'est qu'une étape sur la route de ce que certains appellent la «race cosmique», le futur unique "type" mondial, LA race du monde. Déjà certains se veulent des "citoyens du monde".

Les gens d'ascendance européenne constituent un peu plus de dix pour cent de la population mondiale mais depuis 1980, les naissances blanches s'élèvent à seulement un peu plus de cinq pour cent des nouveaux enfants du monde. Le taux de natalité des Blancs est tombé à des niveaux dangereusement faibles, actuellement environ 1,8 enfant par femme. Un niveau de 2,1 est requis pour compenser les décès. Les taux de natalité du Tiers Monde restent très élevés, en grande partie grâce à l'obtention de nourriture, de médecine et de "maintien de la paix" par l'altruisme des Blancs.

Nous pouvons supposer que la fraction de population ayant une ascendance européenne représente aujourd'hui un seizième de la population en âge de procréer.

Si l'expérience du Time est réalisée à l'échelle de la planète, l'humain en résultant sera d'apparence asiatique puisque environ 60 % de la population mondiale est asiatique.
Dans ce scénario, qui est déjà en cours dans le continent nord-américain et en Europe et en Australie, l'unique ancêtre européen ne laisserait aucune trace discernable dans l'homo cosmicus. Les européens seraient totalement englobés, phagocytés. Ce processus éradiquerait la diversité biologique que les multiculturalistes prétendre chérir. A sa place il n'y aurait qu'une uniformité humaine irréversible résultant d'un amalgame aléatoire de toutes les races du nouvel ordre mondial.

La disparition d'une race est un événement de grande importance. La destruction d'une population entière est, de fait, un génocide selon la définition de la Convention des Nations Unies sur le génocide, qui définit le génocide comme «... la destruction, en totalité ou en partie, d'un groupe ethnique, racial ou national. Les actes ainsi définis incluent ... la destruction des conditions de vie nécessaires à l'existence physique du groupe ...».

Le débat sur la race doit être mené dans ces termes pour faire apparaître son importance réelle. La bataille ne peut pas être gagnée en permettant à l'autre camp de limiter les termes du débat en déclarant que certaines questions ne peuvent pas être discutées. Les conséquences sont trop importantes.

Le double code de moralité

Pourquoi donc la race est-elle importante? La réponse se trouve dans la biologie des gènes et dans les effets de la parenté génétique sur l'altruisme. Pendant de nombreuses décennies, l'altruisme fut un paradoxe pour les théories de l'évolution. Darwin lui-même réalisa que l'altruisme était difficile à expliquer en termes de «survie du plus adapté» au niveau individuel.

Si les membres les plus altruistes d'un groupe se sacrifient pour les autres, ils courent le risque de laisser moins de descendants à qui transmettre leurs gènes qui gouvernent le comportement altruiste. Donc, l'altruisme entraine une sélection négative et l'égoïsme une sélection positive.

L'altruisme est une disposition ou une règle qui au final s'avère auto-destructrice voire suicidaire plus son adepte. La charité bien ordonnée ne commence t elle pas soi même? Dans ce monde de brutes, il faut être égoïste quand il s'agit de la survie de tout un "type".

Du fait de la nature profonde de l'altruisme et de la compétition permanente, le système dual dans les relations humaines est inévitable.


La sélection naturelle a fait apparaître un code de moralité dualiste, d'une part un code altruiste pour sa parenté génétique, d'autre part un code non-altruiste pour tous les autres. Le processus qui assure l'évolution d'un groupe isolé de l'humanité est une combinaison de deux principes, à savoir, la coopération et la compétition.

Dès le début de l'évolution, la survie de chaque groupe humain se fonde sur un système dual où l'étranger au groupe est perçu comme une entité amicale ou comme une entité hostile. L'entité hostile doit être contournée ou détruite si elle représente une menace pour l'équilibre et la survie du groupe. La caractéristique essentielle d'un groupe humain est qu'il doit adopter un type de comportement pour les relations internes au groupe et un autre pour celles avec l'extérieur du groupe. Dans le groupe les relations sont caractérisées en principe par la coopération alors que les relations en dehors du groupe sont caractérisées en principe par le conflit.

Les libéraux ont tenté de discréditer le rôle du conflit tribal (ou ethnique) prétendant que de telles distinctions ont disparu quand les groupes ont atteint la taille d'une nation mais les groupes ethniques nationaux représentent la croissance et la consolidation à travers le temps de tribus génétiquement apparentées.

La distinction "dans le" groupe et "en dehors du" groupe est toujours valable. c'est seulement que les aspirations et les armes utilisées dans cette guerre tribale moderne ont changé de nature comme avec l'irrédentisme territorial (Italia irredenta) et la compétition entre taux de natalité. Les enfants sont une arme pour une invasion à long terme. Le double code de moralité est la clé de voute sur lequel tout ordre moral durable doit s'appuyer pour permettre la survie d'un groupe ethnique.

La campagne des libéraux pour éliminer les sentiments de solidarité nationale, culturelle ou raciale chez les peuples européens fut entreprise en grande partie dans l'espoir que l'abolition du «tribalisme» inaugurerait une ère de paix mondiale. Non seulement l'esprit tribal ne peut pas être éliminé mais tout groupe qui se risque à démanteler unilatéralement son propre sens tribal sera balayé par les groupes qui ont conservé le leur.


Est-il moral pour les groupes ethniques de chercher à survivre? Puisqu'il est impossible d'éliminer les «tribus» de la race humaine, la réponse à cette question doit être "oui". Ce qui est inextricablement construit dans les lois de l'univers ne peut pas être immoral.

Les universalistes pourront tenter de caricaturer le double code de moralité comme étant un double langage odieux, mais c'est quelque chose que nous pratiquons chaque jour sans même y penser. Sans lui, aucun groupe, que ce soit une famille, un club, une corporation, une franc-maçonnerie, un parti politique, une nation ou une race, n'existerait. C'est la manière dont les groupes font la distinction entre membres et non-membres. Les employés d'une même société se traitent différemment de la manière dont ils traitent les concurrents. Les membres d'un même parti politique coopèrent entre eux et s'allient contre les adversaires. Les familles font une sévère distinction entre les membres et les étrangers. Il est facile de reconnaître le double code de moralité, précisément parce qu'il est une partie fondamentale de la nature humaine.

Le «code d'amitié, code d'hostilité» explique les loyautés raciales. C'est une extension du fait biologiquement nécessaire que les parents aiment leurs enfants plus que les enfants des étrangers. De tels sentiments sont normaux et naturels. Pourtant le mot «racisme» est devenu l'anathème qui stoppe la discussion.

Ceux qui utilisent ce mot comme une arme disent que la loyauté raciale est du racisme quand elle est manifestée par des Blancs, mais qu'elle est de la fierté justifiable quand elle est manifestée par des non-Blancs. Le mot est simplement un moyen d'avoir du pouvoir sur les gens qui ont des scrupules moraux excessifs.

Par conséquent, il est fort probable que le "type" européen sera détruit dans cette nouvelle forme de guerre biologique car il sera phagocyter par la déferlante africaine et asiatique.

La Terre est fondée sur une biologie de la diversité: la biodiversité minérale, végétale, animale et humaine.

Les sentiments de loyauté raciale sont fondés sur les différences biologiques mais elles n'impliquent pas qu'une race ait le droit d'en dominer une autre. Une franche discussion des différences raciales ne devrait pas être considérée comme moralement répugnante.

La vérité ne peut pas être du racisme, du moins pas au sens péjoratif dans lequel le mot est aujourd'hui utilisé.

La plupart des formes de comportement ("des Blancs") qui sont considérées comme du racisme n'impliquent pas une agression non-provoquée contre des gens d'autres races, mais sont simplement la loyauté naturelle d'êtres humains envers leur propre groupe. Ces formes de comportement sont nécessaires à la survie du groupe ethnique. La violence non provoquée est un mal moral mais "les Blancs" sont dans une proportion écrasante les victimes de la violence raciale, pas les auteurs.

"Les Noirs" représentent douze pour cent de la population américaine mais commettent presque les deux tiers des crimes violents en Amérique, ont plus de douze fois de chances de tuer des Blancs que l'inverse, ont plus de mille fois de chances de violer des femmes blanches que l'inverse, et choisissent des Blancs comme victimes dans cinquante pour cent des cas alors que les Blancs choisissent les Noirs comme victimes dans seulement deux pour cent des cas.

Le crime inter-races n'est qu'une manifestation d'un principe biologique fondamental appelé loi d'exclusion de Gause. Deux "sous-espèces" de la même espèce ne peuvent pas se trouver dans la même région géographique. L'une éliminera ou remplacera inévitablement l'autre. Imaginer qu'une "sous-espèce" humaine puisse vivre sur un plan d'égalité pendant longtemps avec une autre sous-espèce n'est qu'une pensée illusoire et ne peut conduire qu'au désastre et à la disparition pour l'une ou l'autre. La disparition ne viendrait pas forcément sous la forme d'une destruction physique. Elle peut simplement impliquer la perte de l'habitat. Harlem, Watts, East St. Louis et beaucoup d'autres quartiers noirs étaient autrefois occupés par des Blancs. L'arrivée des Noirs (ou d'autres non-Blancs) en nombre suffisant a rendu impossible la survie des Blancs, alors que le processus ne marche pas en sens inverse. Ce phénomène est observable aussi en France et en Europe où certains quartiers des villes sont progressivement devenus des espaces arabo-musulman.

Même sans le carnage du crime inter-racial, les Blancs pourraient être éliminés par la simple perte du territoire. Vue en termes biologiques, la diversité ethnique est le prélude à la destruction du "type" européen.

La grande majorité des gens, de tous âges et de toutes origines, ne se préoccupent pas de la naissance et de la chute des civilisations. Comme le poisson dans l'eau, ils ne prennent conscience de leur environnement que lorsqu'il change rapidement, d'une façon brutale et menaçante, un cas rare dans la durée de vie de la plupart des gens.

Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille.

Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède.

La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.

La température continue à grimper. L'eau est maintenant chaude.

C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s'affole pas pour autant.

L'eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien.

La température continue à monter jusqu'au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir.


Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée aussitôt de la marmite.


Cette expérience montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte.

Les signaux de danger sont bien présents et bien visibles, pourtant le "type" européen se meurt sans aucune réaction.

Une civilisation surgit quand la sélection naturelle produit un peuple d'intelligence moyenne supérieure. A mesure que les fondateurs dominent les forces de sélection naturelle, ceux qui auraient été éliminés de la population à cause de leurs aptitudes plus faibles survivent et produisent plus d'enfants que les fondateurs plus intelligents. Les «hommes de qualité» ont moins d'enfants que la moyenne. Finalement le niveau d'intelligence de la population tombe au-dessous du niveau nécessaire au maintien de la civilisation. La masse l'emporte sur l'élite. Le nombre l'emporte sur la qualité.


Un autre facteur de l'effondrement des civilisations est l'altération graduelle des populations fondatrices ethniquement homogènes à cause des pertes dues aux guerres et, dans l'Antiquité, à cause de l'importation d'esclaves. L'équivalent moderne de l'esclavage est l'immigration.

La population d'origine a été gaspillée dans des guerres entre européens et dispersée dans la colonisation, et sa place a été prise par des migrants.

A Rome, en l'an 9 après JC des lois furent établies requérant que chaque famille patricienne ait trois enfants. L'empoisonnement au plomb a été impliqué dans l'incapacité à inverser le déclin du sang romain mais les raisons ne changent pas le résultat. Même dans l'ancienne Rome, les esclaves ne restaient pas des esclaves pour toujours et leur épanchement graduel dans la population par le mélange aurait contribué à la fin de Rome. La même situation, une infusion massive de non-occidentaux et un taux de natalité au-dessous du niveau de remplacement, menace l'Europe et pour des raisons sans aucun lien avec l'empoisonnement au plomb.


Une nouvelle civilisation ne surgit jamais là où une civilisation précédente est morte. Une nouvelle civilisation ne peut pas surgir sur le site d'une civilisation précédente dès que le caractère héréditaire du peuple est définitivement altéré. Ce processus est aujourd'hui en cours en Europe à travers l'immigration, la protection sociale et les politiques libérales qui encouragent la submersion des européens par un «melting pot» global.

Si l'Europe devait subir le sort de Rome, il n'y aurait pas de relèvement. Il reste à voir si d'autres civilisations surgiront ou pas parmi d'autres peuples.

Les succès économiques actuels indiquent que l'Asie de l'Est pourrait être un futur centre de civilisation. Néanmoins, les innovations modernes viennent surtout des sources créatives européennes. Il reste à voir si l'innovation pourra être maintenue en l'absence du "type" européen.

Bien que les prévisions catastrophiques pour le futur soient souvent ridiculisées, il est sage de se rappeler que les catastrophes «romaines» peuvent se produire et se produisent, et dans un monde globalisé, les conséquences pourraient être écrasantes.

Nos nombreuses technologies forment un incroyable réseau de soutien mutuel et de dépendance mutuelle. Si ce réseau était interrompu, il est douteux que notre type de technologie puisse jamais être reconstruit. Selon toute probabilité, il semble que notre civilisation, dès qu'elle se sera effondrée, ne sera jamais remplacée par une autre de qualité comparable.

Les deux causes possibles de destruction de la civilisation moderne sont une guerre nucléaire et un effondrement de population causé par un dépassement du niveau de peuplement que la Terre peut supporter. Cependant, la submersion génétique des européens ayant seul la capacité innée de maintenir la civilisation aboutira exactement au même résultat, le chaos.

Craignant «l'importation d'étrangers», «Ils apporteront avec eux les principes de l'islam . En proportion de leur nombre, ils infuseront en dans la nation d'accueil leur esprit, fausseront ou détourneront sa direction et la transformeront en une masse hétérogène, incohérente, éperdue.

Comme l'inégalité économique entre des groupes produit inévitablement la jalousie, les sociétés stables sont presque toujours homogènes. Les sociétés multiethniques et multiculturelles vivent au bord de la dissolution. Dans de tels cas, le rôle du gouvernement se transforme en gestion des conflits. On maintient la fiction selon laquelle une résolution finale des conflits intergroupes sera réglée par l'intégration. La réalité est quelque peu différente. Les lois contre les «crimes de haine» et les «paroles de haine» reflètent cette autre réalité.

Si les minorités ethniques d'aujourd'hui deviennent une majorité, les européens ne pourront plus contrôler pacifiquement, au moyen du bulletin de vote, le destin des nations qui étaient jadis les leurs. Il n'y a pas de garantie que les protections prévalant dans notre société actuelle seront préservées dans les sociétés futures. Il n'y a pas de raison historique de croire que les gouvernements fondés sur les principes de la liberté individuelle survivront à la disparition des peuples européens.

La tradition européenne de liberté ordonnée et auto-gouvernée fait probablement partie de notre héritage génétique.

Dans tout le Tiers Monde, les gouvernements varient de l'anarchie à la dictature.

Cela aussi est sûrement génétique. Les quelques pays non-européens qui semblent être libres ont généralement maintenu la démocratie par un contact intime avec l'Occident.

Si les Européens sont marginalisés et finalement absorbés par des populations du Tiers Monde, l'idéalisme du libéralisme qui a permis l'invasion de l'Europe par le Tiers Monde se révélera avoir été un défaut génétique létal.

Peu de concepts sont plus implantés dans la pensée européenne que le respect du «règne de la loi».

Les lois ont contribué à provoquer la crise actuelle. Bien qu'il n'y ait presque pas d'appui populaire en faveur de l'immigration, celle-ci se poursuit partout en Europe grâce à des lois faites par des gouvernements élus par le peuple mais les lois votées pour assurer la liberté ne sont pas meilleures que les gens qui les font et qui les imposent.

La plus grande de toutes les injustices est celle qui se présente sous le nom de la loi.



Un ordre naturel pour la liberté prime sur les lois faites par les hommes. La loi naturelle est donc le pivot sur lequel repose l'accusation selon laquelle l'immigration arabo-musulmane est un génocide pour les européens. Les gouvernements européens n'ont pas le droit d'imposer les actuels niveaux d'immigration et de mélange racial à leurs peuples. Et nous ne sommes pas non plus obligés de les accepter.


La loi et le gouvernement ont pour rôle et devoir d'assurer la sécurité des nationaux mais ils le font de moins en moins. L'autodéfense est à juste titre appelée la première loi de la nature ... elle ne peut pas être annulée par les lois de la société. Une stricte observation des lois écrites est sans doute l'un des devoirs les plus élevés d'un bon citoyen mais ce n'est pas le plus élevé. Les lois de nécessité, d'auto-préservation, de sauver notre pays quand il est en danger, sont une plus haute obligation.

Les lois seules, indépendamment de leur utilité pour la survie, ne sont pas, et ne peuvent pas être, la base fondamentale de la civilisation. En définitive, celui qui fait et qui impose les lois a le pouvoir de déterminer qui vit et qui meurt. La survie est le principe ultime sur lequel tout système moral durable doit être fondé. C'est un fondement supérieur de tout ordre moral permanent car tous ceux qui «dépossèdent» leur peuple de son droit à l'existence disparaîtront et leur système moral défectueux disparaîtra avec eux.

Tous les systèmes de loi et de gouvernement doivent servir l'impératif de la survie. L'auto-préservation est la première loi de la nature et par conséquent tout État dans lequel l'épée est tout le temps suspendue sur la tête de son peuple doit finalement devenir intolérable.

Les lois n'ont plus de légitimité au milieu des ruines et sont silencieuses au milieu des armes.

L'Europe abandonne le pouvoir de la vie et de la mort aux mains de forces étrangères. Dans un monde où règne le double «code d'amitié, code d'hostilité», cette décision, qui n'a jamais été soumise à un examen systématique par un électorat objectivement informé, équivaut à un suicide.

A un certain moment , l'épée que la société occidentale a suspendue au-dessus de sa propre tête deviendra intolérable. Ce que notre réponse sera reste à voir. S'il n'y a pas de réponse, la longue descente dans la nuit suivra à coup sûr.

Qu'est-ce qui serait perdu avec la disparition du "type" européen?

Dans "La Germanie", l'historien romain Tacite écrivit que les gens des tribus germaniques avaient un penchant pour la liberté personnelle, une indépendance d'esprit, un statut inhabituellement élevé accordé aux femmes et une affection profonde pour le pays. Ces traits ont survécu pendant vingt siècles. Cet esprit de la liberté individuelle persistera-t-il après la mort de l'esprit européen?

En dépit de la tendance des libéraux à dénigrer le seul peuple sur Terre qui tolère leur présence, ces vertus caractérisent uniquement les seuls Européens et leur civilisation.

Nous sommes sur la route de l'extinction. Si l'Européen veut survivre il doit s'attaquer à la nature profondément destructive de ses croyances.

Les principes judéo-chrétiens exécrables culpabilisent les européens, les emplissent de compassion et les poussent par un devoir moral pathogènes à assister les rebuts des rivages grouillants du Tiers Monde venus s'échouer sur notre sol pour le parasiter.

Tout ordre moral durable doit être fondé sur les principes suivants:

  1. un code dual de moralité qui lie les membres des groupes ethniques et raciaux.

  2. l'altruisme universel et auto-sacrificateur, dans un monde où la cohésion raciale est partout la norme, est létal.

  3. l'impératif de la survie et la primauté de l'auto-préservation européenne prime toutes les lois faites par les hommes.


Les européens doivent en arriver à croire au seul principe moral que la Nature reconnaît et à agir en accord avec la Nature. La seule voie qui donne au "type" européen une chance de survivre est la séparation ethnique. Sans séparation ethnique, le double code de moralité assurera une longue et chaotique période de conflits et d'effusion de sang eu Europe. Pour les peuples qui sont en harmonie avec la loi naturelle, la survie est morale. Pour ceux qui ne le sont pas, la punition est la mort. La solution existe donc, elle nous tend le bras mais beaucoup ont déjà perdu l'esprit... européen.

Ce que le conflit racial ne fera pas, le mélange racial, le faible taux de natalité et le remplacement physique et psychologique le feront. Longtemps avant même que l'héritage génétique européen ne soit complètement submergé, les valeurs européenne de vie auront disparu.

Même si ceux qui lisent ces lignes ne pourront peut-être pas voir l'effondrement de l'Europe, les enfants qui naissent aujourd'hui en souffriront.
La fin est pas proche et ne sera pas douce. L'Europe va connaître un embrasement aussi terrible que soudain. L'esprit européen périra des mains de ceux qui appliquent la loi naturelle. Le fort écrase le faible.

Quels que soient les moyens requis pendant que le choix nous appartient encore, pour l'amour de nos enfants encore à naître, choisissons la vie. Sinon cessant de grandir, l'Europe mourra.

Un sang, un sol, un avenir sinon c'est la mort assurée pour les européens.



Il est nécessaire d'être lucide et de lutter pour la survie de l'esprit européen face à toutes les forces qui veulent notre perte et en particulier face à cette véritable colonisation de peuplement africaine en générale et arabo-musulmane en particulier qui va imposer progressivement, à mesure que le poids démographique des musulmans en France augmente, une nouvelle donne : l'islam.

Même si ce n'est ni la langue, ni la religion qui font la cohésion d'une race , l'islam est devenu aujourd'hui une menace réelle pour la préservation de l'identité de la France et de L'Europe.

Quand le musulman est le plus faible, il nous demande sa liberté (et encore pas toujours), au nom de nos principes mais quand le musulman sera le plus fort, il nous refusera notre liberté, au nom de ses principes, ceux de l'islam.