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jeudi 4 novembre 2010

LA RACE

- LA RACE -


Les Européens n'ont toujours pas compris que dans un monde devenu trop petit pour ses habitants, ils sont désormais une minorité et que la prolifération des autres races condamne notre "type" irrémédiablement à l'extinction si nous nous en tenons à nos actuels principes moraux. La perte du réflexe racial et de l'identité raciale chez les Européens sont symptomatiques d'une crise profonde. Cette situation est la conséquence d'une mauvaise compréhension -peut-être fatale- de la nature même de la moralité. Nous avons perdu de vue les anciennes et éternelles lois de la Nature sur lesquelles notre civilisation est fondée et que nous devons respecter si nous voulons survivre en qualité d'européens. Les principes altruistes universalistes ont conduits notre continent au bord de notre ruine biologique et morale.

La France n'est pas un pays raciste. Il n'y a pas en France de racisme réel au sens du dictionnaire (hiérarchie des races) mais un refus, un rejet de l'autre et certainement de la haine entre certains groupes ethniques dans les banlieues. Le mot "racisme" est utilisé en lieu et place du mot "rejet" ou du mot "haine". Les discriminations à l'entrée des boîtes de nuit ou à l'embauche impliquent-elles ou sous entendent-elles une hiérarchie de la valeur humaine? Je ne le crois pas. Les raisons de la discrimination résultent des différences sociales, culturelles et d'éducation.

L'antiracisme tel qu'il est présenté et appliqué par les associations en France est un racisme anti-blanc (en réalité une haine envers les Blancs fondée en partie sur le passé colonial de la France) qui ne dit pas son nom et un exutoire du malaise identitaire refoulé de certains non-européens vivant sur notre sol. Ces associations dites antiracistes sont des machines de guerre médiatiques et politiques.

Aujourd'hui "la race" est devenue un mot tabou et le mot "racisme" est totalement galvaudé. Certains parlent même de racisme anti jeunes ou anti vieux. Cette regrettable ineptie est révélatrice d'une volonté de renverser nos valeurs et nos esprits. Ouvrez un dictionnaire de votre grand père ou les vieux bouquins d'école de la grand mère et prenez le temps de lire des définitions de "race" et de "racisme". Elles ont bien changé mais là n'est plus vraiment le problème.

« Tout est dans la race », écrivait Benjamin Disraeli, « il n’y a pas d’autre vérité. »Même si ce que Disraeli entendait par race n’est autre que ce que Winston Churchill voulait dire quand il parlait de « notre race insulaire » - une tribu, un groupe ethnique, un peuple unique et bien distinct de tous les autres, le fait même d'évoquer l'existence des « groupes ethniques » est l'acceptation de différences entres les hommes. En 1775, le naturaliste J- F Blumenbach propose une classification des Homo sapiens : De generis humani varietate nativa. En 1795, il adopte définitivement la taxinomie suivante : la variété caucasienne à peau pâle (l'Europe), la variété mongole (Chine et Japon), la variété éthiopienne à peau sombre (Afrique), la variété américaine et la variété malaise (Polynésiens, Aborigènes...).
La grande nouveauté de Blumenbach c'est qu'il établit une hiérarchie entre les variétés. Il place la variété caucasienne à l'origine des autres selon un critère très personnel : c'est le peuple le plus beau! Les autres variétés étant (selon lui) une dégénérescence par rapport à cette population originelle (il faut prendre en compte qu'il emploie le mot dégénérescence dans le sens "écart par rapport à").

Je dois ajouter qu'il indique que toutes les variétés d'hommes correspondent à une seule et même espèce. Il défend le principe d'unité de l'espèce humaine. C'est son droit de défendre ce principe « d'unité » de l'espèce humaine, principe d'unité que je ne partage pas. Pourquoi vouloir absolument faire croire à une unité de l'espèce humaine et nier des différences psychiques et psychologiques qui sont bien plus profondes que la seule couleur de peau.

Le discours officiel veut absolument nous faire croire que les seules différences qui existent entre un homme européen et un homme d'Afrique noire réside dans la couleur de la peau. Or les races ne se différencient pas uniquement par de simples caractères physiques héréditaires comme la couleur de la peau, la forme de la tête et du visage, qui ne sont que de superficielles différences de l'enveloppe corporelle.

Le phénotype est l'ensemble des traits observables (caractères anatomiques, morphologiques, moléculaires, physiologiques, éthologiques) caractérisant un être vivant donné (ex: couleur des yeux, des cheveux, phénylcétonurie...).

En réalité les différences entre les races sont bien plus profondément enracinées dans le psychisme. L'esprit européen est différent de l'esprit africain. La façon de penser, l'approche et la conception de la vie sont différentes et doivent être respectées.

Contrairement à ce que veulent nous faire croire certains, il n'y a pas une race humaine mais bien plusieurs races qui composent l'espèce humaine.



Toutes les races appartiennent bien à l'espèce humaine mais dire qu'il y une unité, est une réelle sottise ou/et un mensonge. Les races appartiennent toute à l'espèce humaine et forment, non pas une unité , mais une riche communauté mondiale. Les hommes sont différents alors pourquoi vouloir soutenir le contraire? «Différence» n'est pas synonyme de «hiérarchie».

L'usage du mot anglais "race" demeure au USA ou au Canada anglophone, où il ne paraît pas choquant de classer les individus par le mot anglais "race". Dans la province du Québec (francophone) on utilise le terme "origine ethnique", suivi de la nationalité. En France, surtout dans la Police et la gendarmerie nationale, on utilise dans les communications radios et dans les procès-verbaux le terme "type", suivi d'une région géographique: européen, maghrébin, asiatique... Chaque continent a son "type" d’homme. Le plus en plus dans les médias le mot "type" remplace le mot "race". A quoi correspond cette volonté?

L'expression «minorité ethnique non sédentaire» est utilisée officiellement aujourd'hui dans les procès-verbaux de la gendarmerie nationale pour désigner les gitans ou «gens du voyage». Ce style d'expression : «minorité ethnique non visible ou visible, sédentaire ou non sédentaire» est d'une totale hypocrisie. Alors à qui correspond l'expression «communauté religieuse non visible très présente dans les médias, la télévision, le cinéma et la chanson»?

Nous pouvons employer sans aucun état d'âme le terme «variété» ou le terme « origine ethnique » ou le terme « type » en lieu est place du terme «race» mais le problème de la préservation du peuple de «type» européen est toujours bien présent. Le «SDF» remplace le «clochard», le «non voyant» remplace l' «aveugle», l' «IVG» remplace l' «avortement» mais le résultat est le même. Changer un terme par un autre ne règle rien. La dialectique ne résout pas les problèmes, elle tente surtout de les dissimuler.

Le Code pénal condamne la discrimination raciale mais comment peut on être condamné pour un délit racial alors qu'officiellement les races n'existent pas. On peut donc être condamné pour une infraction à une chose qui n'existe pas officiellement mais existe pourtant dans les faits et dans la nature. Voilà où nous mènes les chemins tortueux de la dialectique.

Chaque race a le droit et le devoir de se développer dans la paix et l'harmonie sur son propre sol, avec ses propres concepts correspondant à sa spécificité, en continuant à entretenir des relations commerciales et culturelles avec les autres races. Chaque race est le résultat d'un passé, d'une longue histoire qu'elle se doit de préserver en mémoire de ses ancêtres car le seul élément qui fait l'unité réelle d'une race, c'est le sang.