La France...et la présence musulmane sur son sol.
Selon la tradition, Mahomet (le prophète) est né en l'an 570 après J.C. et a grandi à La Mecque. Dans cette ville-étape entre l'Inde et la Syrie, il a sans doute rencontré les marchands qui empruntent, avec leurs chameaux, la route des épices. C'est vraisemblablement de là qu'il tire ses connaissances sur le christianisme et le judaïsme.
Connue pour ses nombreuses idoles dès le 2e siècle, La Mecque en abritait surtout une, la Kaaba (qui signifie "cube"), dont les propres parents de Mahomet étaient les gardiens. Dans ce sanctuaire cubique d'environ 12 mètres de côté et recouvert d'un tissu noir, se trouvait une pierre noire qu'on disait venir de la Lune. De telles pierres lunaires étaient vénérés dans plusieurs sanctuaires à travers la Syrie. Celle-ci, enchassée dans de l'argent à 1 mètre du sol, mesure 50 cm de diamètre. On raconte que cette pierre aurait été amenée du ciel par "l'archange gabriel" et Abraham, voire Adam lui-même, en auraient posé le fondement. De nombreuses pierres étaient stockées dans la Kaaba. Elles n'étaient pas vraiment sculptées en forme de statues, mais on les idolâtrait de la même manière, par des offrandes, des danses, des prières et des sacrifices.
Dès à présent, nous relevons une contradiction de l'islam. L'islam bannit l'idolâtrie, alors qu'elle exige de chaque fidèle qu'il fasse le hadj, le pélerinage à la Mecque, pour toucher un morceau de caillou venu de la Lune. N'est-ce-pas de l'idolâtrie, de faire converger la foi de plus d'un milliard de personnes autour d'un caillou noir? Ce sont les Wahhabites (théoriciens du terrorisme islamique actuel) au pouvoir en Arabie saoudite, qui en envahissant La Mecque au début du XIXe siècle piétinèrent cette pierre noire. Bien que l'islam exige de son fidèle la croyance en un dieu unique, le musulman trouve en général Allah très distant. Pour cette raison, l'islam s'accomode fort bien de la sorcellerie qui consiste à invoquer des esprits (djinns) pour les "besoins courants", souvent à l'aide de la récitation incantatoire de versets du Coran.
Mahomet reçut des visites de "l'archange Gabriel" et commença à dénoncer le paganisme et les idoles. Chassé de la Mecque, il y revint 8 ans plus tard, avec une armée de 10 000 hommes, s'empara de la ville et en détruisit temples et idoles, à l'exception d'un seul: la Kaaba, où il prétendit que le pélerin devait désormais venir adorer "Allah", nom de son dieu, qu'il avait emprunté à un autre divinité de la ville.
L'islam est un système religieux, politique, juridique et social initié au VIIe siècle par MAHOMET, qui se déclare le dernier prophète et donc LE prophète à qui Allah aurait transmis ses préceptes par l'entremise de l'ange Gabriel.Ces préceptes sont compilés dans le Coran ("récitation" en arabe). Le Coran, fixe, immuable, non interprétable, est constitué de 114 chapitres appelés sourates et chaque sourate est formée d'un nombre variable de phrases appelées versets. Mahomet entendait les paroles de l'ange Gabriel pendant des crises mystiques. En plus du Coran, les musulmans prennent aussi pour modèle Mahomet en s'inspirant de ses actes et paroles rapportés entre le VIIIe et le Xe siècle par la tradition, les hadiths (les dires) qui forment la Sunna. [voir Coran version française par Hamidullah largement acceptée par les musulmans et sur le site de l'UOIF. Le Coran d'Hamidullah].
La théologie islamique divise le monde en deux sphères bien closes, et en combat perpétuel. Le Dar Al-Islam (la Maison de l'Islam) - où la loi islamique prédomine, et le Dar Al-harb (la Maison de la guerre) - le reste du monde. Il incombe au Dar Al-Islam de combattre et de conquérir le Dar Al-harb, et de l'assimiler de manière permanente. Les musulmans vivant dans les nations occidentales sont appellé à renverser les régimes séculaires dans lesquels ils vivent actuellement, selon l’ordre d'Allah. La violence islamique est un comportement entièrement orthodoxe pour des musulmans et découlent directement des enseignements et de l’exemple du prophète Muhammad (Mahomet) et des injonctions de Coran. L'exemple de Mahomet est celui d’un seigneur de guerre extrêmement violent, qui a tué de nombreuses personnes. Le Coran - les mots in extenso d'Allah - prescrit la violence contre les non-musulmans et Mahomet est l'exemple parfait du Coran en action. Le jihad signifie la "lutte" mais désigne en fait la guerre, le combat contre les non-musulmans, afin d'imposer la règle de la loi islamique au monde. La mort violente dans le jihad est, selon Coran, la seule assurance du salut.
Après la mort de Mahomet, ses successeurs, dans le droit fil de son action, ont étendu la guerre à trois continents, combattant et asservissant les chrétiens, les juifs, les zoroastriens, les hindous, tout en perpétrant d’innombrables massacres. L'Islam ne s’est pas développé par l'évangélisation ou par un attrait naturel de la religion, mais par des guerres agressives de conquête. Les croisades étaient en grande partie une réponse tardive de la part de l'Europe chrétienne pour délivrer les chrétiens souffrant en terre sainte de l'oppression musulmane. Bien que n’étant plus l'empire unifié des Califes, le monde musulman d’aujourd'hui est toujours très violent et demeure responsable de la grande majorité des conflits autour du monde et de presque de tout le terrorisme international.
Les dirigeants politiques français défendent une opinion selon laquelle l'islam est une religion paisible et que ceux qui commettent des violences au nom de l'islam ne sont que des fanatiques isolés qui interprètent mal les principes de l'islam. Ces hommes politiques se trompent ou sont d'une mauvaise foi incroyable car si en effet les musulmans ne sont pas tous des terroristes, l'islam, en revanche est une idéologie violente et expansionniste qui vise à la destruction ou à l'assujettissement des autres religions, des autres cultures et des autres systèmes de gouvernement. Contrairement à ce que les hommes politiques et les médias -totalement ignorant, complices, lâches ou/et laxistes- veulent faire croire aux Français, l'islam n'est pas une religion comme les autres. L'islam est bien davantage car en réalité, c'est une idéologie qui instrumentalise une religion afin de soumettre par la persuasion ou la violence tous les non-musulmans du monde. L'islam signifie "soumission" en arabe et musulman soumis.
La caractéristique la plus importante de l'islam, une caractéristique incomprise des européens, est que justement l’islam est bien plus un système de gouvernement, qu'une simple religion personnelle. Dans toute son histoire, l'Islam n'a jamais fait de distinction entre la sphère religieuse et la sphère laïque et politique. La loi islamique régit au quotidien chaque aspect de l'action religieuse, de l'action politique, et de l'action personnelle, ce qui en fait une forme de totalitarisme d’ordre divin encouragé à dominer le monde; et qui présente, de bien des manières, des analogies avec l'idéologie communiste et le national-socialisme (nazisme).
Dès sa fondation, l'islam n'est pas uniquement une religion au sens occidental. Ce n'est certainement pas une religion qui accepte la séparation du spirituel et du temporel, qui définit, depuis plusieurs siècles, les sociétés et les gouvernements européens. L'islam est bien davantage. Dès l'origine, c'est un système à la fois politique et social. L'idéologie religieuse et politique ne sont pas séparables dans l'islam, elles sont étroitement associées.
Pour des raisons de « politiquement correct » et pour des raisons d'irresponsabilité de nos gouvernements et de nos médias, le danger posé par l'islam en Europe est oblitéré. Un sérieux problème entrave les efforts européens pour comprendre l'islam, et il est dû au principe islamique de la "tromperie religieuse" (al Taqqiya, la taqqya ou aussi takia), c'est à dire la dissimulation. Ce principe encourage les musulmans à tromper des non-musulmans pour faire avancer la cause de l'Islam. Aujourd'hui, les groupes musulmans présents en Europe utilisent la dissimulation et l'omission pour donner l'impression que l' islam est une "religion de paix", ce qui est une fiction totale. Ne soyez jamais étonné qu'un musulman mente par omission ou par action, dissumule ou falsifie car c'est une prescription coranique. Quand il s'agit de dévolopper l'islam (sens large) tous les coups sont permis. La takia est un devoir pour les musulmans en situation d'infériorité (de minorité numérique). En revanche, dès que le rapport de force s'inverse alors le musulman peut envisager l'agression, le jihad, la guerre.
Hirsi Ali : " Je pense que nous sommes en guerre contre l’islam. Et qu’il n’y a pas de demi-mesure dans la guerre. Il vient un moment où un ennemi doit tout simplement être écrasé... de toutes les façons possibles. Et si vous ne le faites pas, il vous faudra vivre alors en vous apprêtant à être écrasé. (…) Il n’existe pas d’islam modéré. Il existe des musulmans passifs, qui ne suivent pas toutes les règles de l’islam, mais il n’y a bien qu’un seul islam, défini comme la soumission à la volonté de Dieu. Et il n’y a rien de modéré en cela."
Ayaan Hirsi Ali est députée libérale néerlandaise. Née en Somalie, Ayaan Hirsi Ali a fui à 22 ans pour échapper à un mariage forcé. Réfugiée aux Pays-Bas, vieille terre d'accueil, cette jeune femme musulmane en a adopté les valeurs libérales au point de devenir une jeune députée à La Haye et de s'affirmer athée.
Geert Wilders, un politicien très populaire des Pays-Bas, s’exprime avec clarté, sans rectitude politique. Selon lui, ce qui menace la tolérance, c’est la tolérance envers ceux qui sont intolérants. La mise à mort de Wilders est déjà sur les lèvres et dans les prières de bon nombre de musulmans dont plusieurs se disent « modérés… ».
Wilders : " (…) Je n’aime pas le relativisme culturel, je ne crois pas que toutes les cultures sont égales, je crois fermement que notre culture est de loin meilleure que la culture islamique retardée. Je crois qu’il y a quelqu’un qui devrait le dire… évidemment je fais la distinction entre les gens et la religion, j’ai de gros problème avec l’islam, j’ai de gros problèmes avec cette idéologie, cette religion, mais je ne suis pas en train de dire que tous les gens qui se disent musulmans sont dans l’erreur bien sûr. La majorité des musulmans qui vivent aux Pays-Bas ne sont pas des terroristes, malheureusement une minorité grandissante adhère de plus en plus à une position plus extrémiste et radicale. Donc je fais une distinction, bien entendu, pour plusieurs personnes ce sera difficile à comprendre, mais je fais la distinction d’avec la religion. Je ne crois pas en un islam modéré, et je ne crois pas qu’il y en aura un et s’il y a un islam modéré ça prendra 2 à 3 mille ans et nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre à cinq minutes avant minuit avant de faire quelque chose…
Mais je crois réellement aux personnes, c’est-à-dire que si des musulmans font l’effort et veulent vraiment s’assimiler à la société hollandaise, ils devront se débarrasser des passages durs, intolérants et fascistes du Coran et s’ils veulent s’assimiler, incorporer nos valeurs à leurs valeurs, alors je n’ai rien contre eux, ils ont autant de valeur et de chance que vous et moi.
Lorsque j’ai annoncé au parlement que je ferais ce film, déjà le parlement des Pays-Bas paniquait et parlait déjà avec des imams de partout au pays (…) des groupes de pression musulmans qui menaçaient d’aller en justice pour empêcher la production et la diffusion du film, comme si nous n’avions pas de liberté d’expression aux Pays- Bas. Alors toutes les réactions avant même que le film ne soit fini, à plus forte raison, prouvent justement mon point, qu’il y a un réel besoin de faire un film pour que des gens puissent accepter la critique... Nous avons essayé pendant plusieurs décennies, en Europe, l’autre façon. Nous avons tenté le dialogue, nous avons tenté d’accepter d’autres cultures en disant que tout était permis. Il y a quelques années, le simple fait d’exposer le fait que des gens abusaient des largesses de l’État était vu comme fasciste, ce qui était un non sens. Les politiciens qui ont inventé la société multiculturelle ne sont évidemment pas pressés d’admettre qu’ils ont tort et qu’il y a des côtés négatifs au concept d’une société multiculturelle (…).
Le multiculturalisme nous a apporté tous ces problèmes, on ne peut pas, bien entendu, blâmer un individu qui voudrait une meilleure vie, mais le problème c’est que contrairement aux USA, nous avons pris soin de tous ces gens avec une système social très généreux. Des gens reçoivent plus d’avantages sociaux que ceux qui travaillent au salaire minimum. Il n’y a donc aucun incitatif économique à travailler pour améliorer son sort. En travaillant on s’assimile, on se fait des amis, on est fier de soi, en partage des valeurs. Si on ne travaille pas, si on donne des logements aux gens sans qu’ils aient besoin d’une paie, les gens qui ont des prestations sociales, si on ne leur dit pas de cesser de battre leur femme, ou de cesser d’empêcher leur fille de travailler dans la société hollandaise, que c’est mal, que ce n’est pas correct que vos fils battent des homosexuels dans les rues d’Amsterdam.
Les responsables sont aussi les leaders néerlandais, les parlementaires qui ont permis, dans la dernière décennie, à cette situation de se produire. Ils n’ont jamais dit Stop, c’est assez, c’est notre pays, on est en charge ici, ce sont nos valeurs, si vous voulez venir et vous établir ici c’est correct mais seulement si vivez ici selon nos valeurs, nos principes, nos lois. Mais malheureusement cette situation n’arrive tout simplement pas.
Avec toute cette tolérance que nous avons, malheureusement nous sommes tolérants à l’intolérance, nous devrions apprendre à cesser d’être tolérants à l’égard des personnes qui sont intolérantes envers nous. Ce serait la meilleure leçon que le gouvernement néerlandais pourrait apprendre". (Fin des propos de Geert Wilders).
Le jeune Geert Wilders, né en 1963 à Venlo dans le sud-ouest des Pays-Bas, a passé, après ses études secondaires, plusieurs mois dans un moshav, un village agricole israélien. Sa proximité avec Israël «la seule démocratie au Moyen-Orient», répète-t-il est un fort antidote qui le prémunit de l'extrême droite européenne. À la porte de son bureau du Parlement, ses gardes du corps veillent sous une affiche de la révolution estudiantine de Tiananmen, ornée de photographies illustrant le peuple juif et le souvenir de la Shoah. «Mais j'ai aussi voyagé, et je continue de le faire, en Jordanie, en Syrie et dans de nombreux pays arabes», précise ce quadragénaire plus agile intellectuellement que sa corpulence et ses détracteurs ne le laissent supposer. Mazel tov!
Pourquoi Geert Wilders n'a-t-il pas affiché une image de sa région natale, de ses beaux pâturages et de ses moulins à vent plutôt que des photographies de la Shoah ? Pourquoi nous force-t-on constamment à choisir entre le gaucho-islamisme à la Soral ou l'atlanto-sionisme à la Dantec ? Pourquoi ne pourrions nous pas choisir le camp de l'Europe et des Européens sans servir d'idiots utiles ? Est-ce demander la Lune ? Mazel tov!
Certains médias parlent du film de Geert Wilders, intitulé Fitna (mot arabe qui désigne tout désordre public, la sédition, l’émeute, la guerre civile). Ce petit documentaire de 15 minutes, personne ne l’a vu. Mais on connaît l’auteur, ce député violemment anti-musulman. Donc on craint « le pire ». A deux reprises, le gouvernement néerlandais, mort de trouille à l’idée des réactions islamistes qu’il pourrait provoquer, a demandé au député d’abandonner son projet. Mais Geert Wilders, qui dort chaque nuit dans un endroit différent et ne se déplace que sous la protection de quatre gardes du corps, n’est pas homme à se laisser intimider. Il a accusé le gouvernement de « capituler » face à l’islam, et il a réalisé son film. Il l’a proposé aux chaînes de télévision, qui l’ont toutes refusé (sans même le voir). Même pendant le temps d’antenne réservé à son parti.
Alors il a décidé de le diffuser sur internet. Là encore, les hébergeurs se sont défilés. Il a fini pourtant par en trouver un : Network Solutions. Il a donc pu créer son site, fitnathemovie.com. Avec en page d’accueil ces simples mots : « Fitna coming soon » (bientôt : Fitna), illustrés par une couverture du Coran ornée des mots « Allahou Akbar » en calligraphie arabe.
Mais rapidement tout cela a disparu. A la place, un communiqué de Network Solutions indiquant que le site était suspendu en attendant le résultat de l’enquête pour savoir si le contenu de ce site violait les règles de la « politique d’utilisation » de l’hébergeur, lequel fait état de plaintes qu’il aurait reçues. Or il est évident que ce qu’on voyait sur le site n’était contraire à aucune règle, et que les plaintes n’ont aucun fondement en l’état actuel de la question. Il s’agit d’une censure préalable.
Network Solutions précise que sa charte interdit toute diffamation et toute propagande haineuse, et qu’il s’engage à respecter toutes les lois locales, nationales et internationales.
Geert Wilders affirme que son film respecte les lois néerlandaises, mais il va de soi qu’il ne respecte pas les lois d’autres pays, notamment musulmans (et sans doute pas non plus les lois françaises…). Mais Networks Solutions fait preuve d’une flagrante hypocrisie : il héberge des sites de jeux d’argent et des sites pornographiques qui contreviennent aux lois de nombreux pays.
En vérité, c’est la critique de l’islam qui est interdite. Je n’ai pas de sympathie particulière pour Geert Wilders mais on constate que le débat est interdit sur le danger que peut représenter l'islam en Europe. Nous avons ici une preuve éclatante et terrifiante de la dhimmitude mondiale qui s’installe. La secrétaire générale adjointe du Conseil de l’Europe, Maud de Boer-Buquicchio, a mis en garde contre d’éventuelles atteintes aux droits de l’homme qui pourraient résulter de la sortie d’un film sur l’islam réalisé par l’homme politique néerlandais Geert Wilders.
L'islam représente un danger en France et dans toute l'Europe comme en Belgique, au Pays-Bas, au Danemark et en Suède. Ces pays sont en train de se faire totalement englober, absorber par une population musulmane prolifique.
Nombre de magazines font leur une sur l'islam mais les faits et les chiffres sur l'Islam en France sont proscrits du paysage médiatique. Dans un dossier spécial L'Express mentionne le chiffre de 3,7 millions, alors que Nicolas Sarkozy lui-même parlait de 5 à 6 millions, dont 2 millions de votants. Se fiant à ses services de renseignements, un autre ministre de l'Intérieur en 1989, Charles Pasqua, disait lui de "5 millions de musulmans [en France], dont 1 million de pratiquants, 50 000 intégristes et probablement 2 000 radicaux". C'était en 1989, et les islamistes mobilisaient déjà pour la cause du foulard (bandanas, tchadors, hijabs et burkas).
Si la première loi sur la laïcité, en 1905, voulait empêcher l'emprise de l'Eglise de Rome - alliée des royalistes - sur la politique française, la récente loi interdisant le "port de signes religieux" à l'école se veut un coup d'arrêt aux tentatives des musulmans "islamistes" (euphémisme politico-médiatique signifiant que la personne pourrait, dans des circonstances particulières, se transformer en terroriste et devenir une menace pour la paix civile) de se mêler de politique. Le foulard est avant tout un outil politique: il permet à l'UOIF de compter ses fidèles et de faire pression sur les autres. Les femmes europennes, faisant leurs courses dans leur lieu habituel, se sentent pourtant de plus en plus menacées par cette floppée de foulards qui fleurissent, visiblement par provocation. Demandez aux femmes européennes comment elles ressentent ces provocations. Le bandana, le tchador, le hijab ou la burka (version grillagée qui fait son apparition dans certains quartiers; j'en ai vu moi-même plusieurs fois dans ma ville et même les autres femmes "seulement voilées" semblaient effrayées!) servent à dissimuler la femme. Voir à la télévésion des femmes vêtues de la burka est une chose, en voir directement dans sa propre ville en est une autre. Le choc psychologique est assuré, ça surprend vraiment!
Dans les banlieues, "pour être respectées" disent-elles, ces jeunes filles (parce que ce sont des jeunes beurettes) font le "choix" du foulard, sans en connaître l'origine iranienne, politique, destructrice et les racines psychiques du machisme musulman.
Le plus redoutable est la manipulation des faits et la dissimulation de certaines réalités, dont sont coupables les médias et les hommes politiques. La dissimulation des réalités (70% des violences légères et des dégradations commises en France seraient le fait de "jeunes" issus de l'immigration) et les mensonges lénifiants sur le Moyen-Orient, non seulement sont la cause de l'antisémitisme actuel, mais également d'un sentiment d'insécurité grandissant parmi la population française qui se sent impuissante. Les sentiments racistes augmentent, et on peut craindre, sans exagérer, que certains un jour en viennent à prendre les armes.
Toujours est-il que la France est devenu le premier pays musulman d'Europe, avant l'Albanie, et en attendant que la Turquie n'y entre également.
Le nombre de musulmans en France est donc l’objet de nombreux débats puisque aucune statistique vérifiable n’est disponible. Les chiffres donnés par les analystes se fondent sur le pays d’origine de la personne et de ses parents. Les convertis ne sont donc pas comptés. Les immigrés clandestins ne sont pas comptabilisés par définition et la part des musulmans parmi ceux-ci ne doit pas être négligeable. La population française compterait 15% d’immigrés, sans compter les immigrés clandestins.
Les chiffres publiés indiquent de 4 à 6 millions de musulmans en France. 4 millions est un chiffre qui semble sous-estimé, 6 millions est un chiffre certainement plus réaliste. Ce dernier chiffre est d’ailleurs avancé par le Cheik Abbas de la Grande Mosquée de Paris . L’U.S. Department of State, dans son rapport annuel international sur les religions, conserve le chiffre de 5 millions de musulmans en France. Selon les chiffres retenus, soit 3 millions, 4 millions ou 6 millions nous obtenons des pourcentages allant de 5 à 10% de la population. Nous nous rangeons à l’avis du Cheik Abbas et nous estimons qu’un chiffre de 6 millions de musulmans installés en France est un chiffre réaliste, cela nous donne un pourcentage de 10% de la population française .
Quelques indices peuvent faire penser que ce chiffre sous-estimerait la situation réelle. Ainsi l’armée française estime qu’elle compte dans ses effectifs de 10 à 20 % de musulmans , ce qui est considérable. Si nous appliquons cette fourchette à la population totale de la France, nous arrivons à des chiffres de 6 à 12 millions. Cependant l’armée peut effectivement avoir une sur-représentation de musulmans par rapport à l’ensemble de la population française par le simple fait que cette population est plus jeune et donc plus présente dans les effectifs militaires.
Un point sur lequel tous les analystes sont d’accord est que la France détient le record du pourcentage de musulmans dans sa population totale. Nous estimons qu’ils sont au minimum 10%, mais même en retenant un chiffre plus bas comme 5 millions de musulmans, nous obtenons un taux de 8% de la population qui reste le taux le plus élevé d’Europe, ensuite viennent les Pays-Bas avec 5,5% de musulmans et l’Allemagne avec 4,9% de musulmans . Les analystes s’accordent sur le doublement du nombre de musulmans installés en France en vingt ans (de 1983 à 2003), passant de 2,5 millions à 5 millions, si nous retenons ce dernier chiffre. Approximativement 50% des musulmans vivant en Europe y sont nés car l’immigration a changé de nature, ce ne sont plus des travailleurs qui viennent pour quelques années, ce sont des familles entières qui s’installent.
En ce qui concerne la France, la politique de regroupement familial instaurée par le Président Valéry Giscard d’Estaing en juillet 1974 a évidemment stimulé l’immigration. Si l’immigration de travail ne représente que 5 % des entrées en France en 2004 et 7 % en 2005 comme nous l’avons déjà relevé, le regroupement familial totalise quant à lui 73 % des entrées !
La France et l'Europe vieillissent. Pour maintenir l'effectif de ses populations, chaque européenne devrait donner naissance en moyenne à 2,1 enfants; mais la tendance, à la baisse, est de 1,5 enfants. Alors que la natalité est en baisse dans les pays du Maghreb (grâce notamment à la contraception), elle demeure très forte en France pour les populations d'origine immigrée (femme française de souche: 1,71 enfant; femme originaire du Maghreb: 3,55 enfants; femme originaire de Turquie: 3,73 enfants; femme originaire d'Afrique noire: 4,72 enfants).
La France est confrontée à une véritable colonisation de peuplement. Cette population musulmane est beaucoup plus jeune que l’ensemble de la population et beaucoup plus féconde. 1/3 des musulmans vivant en France ont moins de vingt ans et plus de 15% des jeunes de 16 à 25 ans seraient musulmans . Ils bénéficient d’une fécondité beaucoup élevée que la fécondité moyenne des femmes vivant en France: La fécondité des Algériennes serait de 4,4 enfants par femme, à la deuxième génération cette fécondité se situerait à 3,5 enfants par femme, en ce qui concerne les Marocaines leur fécondité s’établirait à 5,8 enfants par femme puis à 3,5 pour la deuxième génération, les Tunisiennes auraient une fécondité qui s’établirait à 5,1 et à 4,2 à la deuxième génération .
Les enfants sont une arme pour une invasion à long terme. Nous sommes en réel danger d'islamisa tion. Dans la doctrine islamique en effet, il existe 3 champs de mission: dans celui où l'islam est majoritaire, c'est la Charia (loi islamique)qui est imposée. Dans celui où l'islam est une forte minorité, investissements étrangers, littérature et efforts missionnaires sont accentués, afin de provoquer une islamisation plus rapide et un basculement de la société, souvent au moyen de "tests" (législatifs ou autres). Le troisième champ de mission, celui où l'islam est très minoritaire ou insignifiant, est laissé de côté jusqu'à ce que son heure vienne.
Ariel Sharon (Israel) avait en son temps, pour combler le déficit de natalité qu'à terme un million de palestiniens (donc des musulmans) vivant en Israël pourraient -par la fécondité de leurs femmes- causer à six millions de Juifs, invité les Juifs de France à faire leur alyah, c'est à dire venir s'installer en Israel pour accroître la population juive en Israël.
A propos de cette arme que représente la forte natalité, et son sacrifice, Golda Meir (Israel) avait en effet déclaré: "Nous pouvons pardonner aux arabes de tuer nos enfants. Nous ne pouvons pas les pardonner de nous forcer à tuer leurs enfants." Et cette doctrine fanatique avait été reprise par Arafat: "Quand ils vous tuent un enfant, mettez-en un autre au monde"... sous-entendu pour en faire un martyr. Nous n'en sommes certes pas là en France mais cela viendra malheuresement.
Rappelons que si aujourd’hui la France a la fécondité la plus forte de l’Union européenne c’est grâce à l’apport de la fécondité des femmes musulmanes. Toutes ces informations conduisent au constat suivant: la part de la population musulmane ne pourra que s’accroître dans l’avenir tant en France qu'en Europe, d’une part par son dynamisme démographique, car elle a l’avantage d’être plus jeune et d’avoir un indice de fécondité beaucoup plus élevé que l’ensemble de la population européenne, d’autre part par la poursuite de la politique d’immigration massive menée par les différents gouvernements afin de compenser le déficit démographique de l’Europe et le vieillissement de sa population.
Ce vieillissement de la population incitera de plus en plus les politiques à poursuivre et à accroître l’entrée des étrangers en France. Les hommes politiques français sont d'autant plus coupables de cette situation qu'ils n'ont jamais engagé une vaste politique familliale, une réelle politique nataliste en France pour inciter les couples français de souche à fonder des familles nombreuses, accompagnées par un ensemble de mesures sociales adaptées pour les femmes françaises de souche qui souhaitent privilégier l'éducation de leurs enfants et rester à la maison.
D’après l’INSEE, en 2050, la France devrait compter 64 millions d’habitants avec 35% de la population âgée de plus de 60 ans. Cette population âgée sera en très grande majorité française de souche, alors que les actifs et les jeunes auront un pourcentage beaucoup élevé qu’aujourd’hui d’individus d’origines étrangères et en particulier arabo-musulmane. Cela sera la conséquence du départ en retraite des grands contingents de Français nés dans les années du baby boom qui a commencé en 2005, remplacés en partie par les générations creuses qui ont suivi. La part des immigrés arabo-musulmans ou des Français issus de l’immigration essentiellement maghrebine donc musulmane sera de plus en plus importante au sein de la population active.
En 2050, une grande proportion de la France active sera d’origine étrangère et surtout musulmane, surtout si le gouvernement applique une politique de discrimination positive pour les «minorités visibles», c’est-à-dire noire et arabe, en oubliant les Asiatiques. Certains analystes américains estiment que la part de la population musulmane de l’Europe s’établirait en 2050 à 20%.
Cette situation et ces prévisions amènent des analystes américains à estimer que la part des musulmans dans la population française atteindra, en 2025, le quart de sa population et en 2050, la moitié de sa population . Cette accélération de l’islamisation de la France se doublera d’une autre accélération: celle des départs des Français les plus actifs. Cela fait plusieurs années que de nombreux Français quittent leur pays pour fuir une pression fiscale trop forte, les jeunes hauts diplômés trouvant plus facilement à l’étranger des emplois au niveau de leur qualification avec des salaires plus élevés et de meilleures conditions de travail. Il y aurait aujourd’hui près de 2.200.000 Français installés à l’étranger dont près de 50% de jeunes de moins de 35 ans .
Le coût réel de l’immigration en France. 14ème étude publiée par Contribuables Associés réalisée par Jean-Paul Gourévitch,expert international en ressources humaines, spécialiste des migrations.
L’immigration, combien ça coûte ? Ce thème est si lourd d’enjeux politiques que le seul fait de poser la question dérange ou provoque.Au bout du compte, ce sont pourtant les contribuables qui financent les migrations. Il est donc souhaitable, pour se faire une opinion sur le bien-fondé des politiques conduites dans ce domaine, d’en identifier et d’en évaluer les paramètres financiers.
C’est à cet exercice que s’est livré, avec un souci de l’exactitude exempt de tout a priori idéologique, Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines. Il compare les dépenses annuelles que l’Etat consent pour les immigrés (71,76 milliards d’euros) avec les recettes qu’il encaisse de leur part (45,57 milliards d’euros), soit un solde négatif de plus de 26 milliards. Enfin, il évalue les investissements engagés par l’Etat pour contenir les flux migratoires ou faciliter l’intégration des immigrés et de leurs enfants (10,81 milliards d’euros).
En France et dans toute l'Europe, les nombreux efforts humains, sociaux et financiers des sociétés d’accueil pour intégrer les populations musulmanes sont un échec car l’islam est une religion suprématiste qui cherche à imposer systématiquement sa domination sur ceux qui sont percus par l'islam donc par les musulmans comme étant des infidèles.
Plusieurs gouvernements occidentaux avaient et ont toujours comme projet de créer une société où les personnes de différentes races, religions, cultures, traditions coexistent pacifiquement et se métissent. Cette politique a germé avec les migrations à grande échelle de gens appauvris des nations islamiques vers les pays riches comme La France.
Adoptant le multiculturalisme laïc, de nombreux migrants européens ont réussi à s’intégrer à la société française. Cela a amélioré leur style de vie, leur qualité de vie et une bonne perception des liens entre les européens. Ils ont pratiqué leur religion, maintenu leurs traditions et leur culture sans empiéter sur la liberté d’autrui. Il y a cependant une exception, l’islam avec l'arrivée des migrants musulmans.
L’islam est en contradiction avec ce multiculturalisme laïc kafir (terme islamique pour désigner les non-musulmans) mais les musulmans utilisent cette politique libérale à leur avantage. Les musulmans exploitent systématiquement la naïveté des populations européennes et le laxisme voir la complicié des hommes politiques pour progresser et mettre en place leur projet islamiste en France et en Europe.
Le multiculturalisme laïc kafir favorise la tolérance religieuse, la liberté d’expression et la démocratie. Il accorde des chances égales à tous, sans distinction de race, de religion, d’origine ethnique, de sexe ou d’orientation sexuelle. Dans cette politique de multiculturalisme kafir, les islamistes ont trouvé une belle occasion de faire avancer leur projet, afin de créer un monde pan-islamique. Tous les principes cardinaux du multiculturalisme kafir travaillent en faveur des islamistes. C’est pourquoi tous les islamistes appuient pleinement le multiculturalisme kafir.Mais l’appui des islamistes pour le multiculturalisme kafir n’est qu’un stratagème trompeur qui cache leurs véritables motivations. Derrière le vernis de leur large sourire, de leur discours de paix, d’amour pour la liberté et de compréhension interconfessionnelle, il existe un plan vicieux.
Ce plan a pour objectif de remplacer le multiculturalisme kafir par le multiculturalisme islamique.
Les islamistes avancent sans compromis, avec confiance et furtivement vers leur but. Leur arme, ce n’est rien d’autre que le multiculturalisme kafir.
Les islamistes adorent la notion occidentale de multiculturalisme. Elle leur convient parfaitement pour pousser leur projet d’islamisation des sociétés occidentales en utilisant les concepts de démocratie occidentale, de liberté d’expression, de laïcité et de respect de la diversité des cultures, des religions, des langues et des traditions.
Les islamistes utilisent habilement ces nobles idéaux et ces bonnes intentions pour battre les décideurs politiques occidentaux à leur propre jeu.
Nous devons comprendre que les islamistes ont une toute autre idée du multiculturalisme. Le fondement du multiculturalisme islamique est solidement ancré dans la suprématie de l’islam, la primauté des Arabes et du monde islamique. Ils trouvent le concept occidental de multiculturalisme très facile à exploiter à leur avantage.
Par exemple, lorsque l’Australie organise le "dialogue interreligieux", les islamistes y trouvent une opportunité unique d’endosser la "beauté" de l’islam. Principalement financé par les contribuables infidèles, le "dialogue interreligieux" est devenu la meilleure plate-forme pour faire progresser l’islam en Occident.
Grâce à ces Occidentaux qui sont dans l’ignorance au sujet de l’islam et sont des idiots utiles crédules, les islamistes s’esclaffent de rire tout le long du chemin vers la mosquée, en sachant très bien que l’islam est totalement en sécurité entre les mains des politiciens occidentaux. Les islamistes n’ont rien à craindre au regard de leur projet d’imposer un jour l’islam dans les terres des infidèles. Les politiciens des territoires infidèles font le travail pour eux (à savoir, la promotion de l’islam). Ces politiciens vont jusqu’à nommer des islamistes à titre de conseillers ou de groupes consultatifs dans la lutte contre le terrorisme islamique. Quelle triste et lamentable ironie, véritable trahison de nos politiciens.
Alors que les islamistes bénéficient de notre système et sont capables de promouvoir leur culture et leur religion librement ici, nous allons discuter de la façon dont les non-musulmans jouissent du droit au multiculturalisme et à la liberté en terres islamiques.
Le sort des non-musulmans qui vivent dans des paradis islamiques cristallise très bien cette question. Laissez les non-musulmans comme les chrétiens ou les juifs chercher le « dialogue interreligieux » en territoire islamique et nous verrons ce qui leur arrive. Que pensez-vous que sera la réponse du gouvernement islamique ?
Considérons le Pakistan, le Bangladesh, l’Iran et l’Arabie Saoudite, pour n’en nommer que quelques-uns. Le monde est parfaitement conscient de la façon dont les minorités religieuses dans ces sociétés islamiques sont traitées. Malgré les atrocités innombrables commises sur les non-musulmans là-bas, nous n’avons jamais entendu aucun des gouvernements de ces pays islamiques organiser de tels dialogues avec les hindous, les bouddhistes, les chrétiens et les Juifs qui y vivent ?
Avons-nous déjà considéré ce que sera la réaction de ces gouvernements islamistes si nous parlons du multiculturalisme ? La réalité est que les religions minoritaires sont totalement sous la maîtrise et à la merci des gouvernements islamiques de ces pays. Les islamistes sont pleinement conscients de ce traitement cruel, injuste, et brutal des minorités religieuses dans les sociétés islamiques, alors que, dans les territoires infidèles, ils sont libres de faire ce qu’ils veulent. Les islamistes vivant dans un système multiculturel kafir trouvent tellement facile de demander et de forcer le système à acquiescer à leur projet.
Les islamistes exploitent notre propre politique de multiculturalisme pour détruire l'occident. Ils utiliseront notre tolérance pour détruire toute tolérance.
Le Coran est très clair sur le fait qu' Allah est le propriétaire des terres infidèles. Ceci est non négociable. Voici quelques exemples de versets :
Allah réduit progressivement les terres contrôlées par les mécréants …
Cela signifie la victoire de l’islam en expropriant et usurpant la terre des infidèles. Ibn Kathir, l’éminent exégète du Coran, ne fait que confirmer cela. Jalalyn, un autre formidable érudit musulman, accentue Ibn Kathir Allah en disant que Allah diminue la terre des infidèles par l’octroi à Mahomet de la victoire par la conquête. L’un des premiers docteurs de l’islam, Ibn Abbas (le cousin de Mahomet), a également écrit que Allah saisit la terre des infidèles en la conquérant pour Mahomet.
Allah réduit progressivement la terre des incroyants de tous côtés …
Ibn Kathir écrit que ce verset se réfère aux musulmans l’emportant sur les idolâtres. Si nous pensions que Allah est miséricordieux envers les chrétiens et les juifs, nous avons tort. Le Coran considère les Juifs et les chrétiens comme des idolâtres.
Par liberté d’expression islamique, on entend le droit d’appeler les infidèles des chiens et des bestiaux.
Ceux qui rejettent la foi (les non musulmans) sont comme des chiens haletants ; leur faire la prédication est une perte de temps…
Ceux qui rejettent le Coran se font du tort à eux-mêmes, ils sont maléfiques…
Les pires bêtes (ou pires animaux) aux yeux d’Allah sont les infidèles…
Sur l’explication de ces versets, Ibn Kathir écrit que les impies qui n’embrassent pas l’islam et rompent les traités sont les pires créatures se déplaçant sur terre, les musulmans doivent les punir sévèrement et leur infliger de lourdes pertes.
Les musulmans sont les propriétaires légitimes et les dirigeants de toutes les terres des infidèles.
Quand les islamistes migrent en terre infidèle, ils ne pénètrent pas dans un pays étranger. Ils occupent effectivement une terre qu’Allah a réservée pour eux. Tout islamiste dira que la terre entière appartient à Allah. Par conséquent, chaque musulman a le droit inaliénable de se déplacer vers une terre infidèle et de l’occuper à la gloire d’Allah. Lisons ces quelques versets du Coran.
Allah saisit la terre des infidèles…
Allah promet aux croyants sa souveraineté sur la Terre. Il établira la suprématie de sa religion (l’islam)…
Expliqué par Ibn Kathir, cela signifie qu’Allah a fait des leaders musulmans les dirigeants de l’humanité par lesquels il réformera le monde et soumettra les peuples, transformant la peur des musulmans en sécurité. Voici un autre verset :
La souveraineté appartient à Allah (le fondement d’un Etat islamique). Il pardonne à qui Il veut et punit qui il veut …
Par liberté religieuse islamique, on entend le droit de terroriser les kafirs.
Allah a envoyé la terreur dans le cœur des incroyants…
Ibn Kathir écrit que l’islam est une religion de la peur, les musulmans sont redoutables, et c’est pourquoi les croyants sont plus forts. Ibn Kathir va même jusqu’à déclarer que les non-croyants craignent les musulmans plus qu’ils ne craignent Allah.
La liberté de religion signifie la liberté d’imposer l’islam aux infidèles.
Dans l’islam, il est obligatoire pour tous les musulmans de propager les messages de l’islam, où qu’ils puissent être. Ainsi, quand un islamiste migre vers une terre infidèle, il a le devoir envers Allah de convertir le plus grand nombre possible de kafirs à l’islam. C’est parce que Allah dit que la seule religion qui peut exister sur terre est l’islam.
L’islam est la religion d’Allah, Il est prompt à demander des comptes…
Allah dit que, sauf l’islam, il n’y a aucune religion acceptable pour lui. Ibn Kathir écrit que l’islam inclut l’obéissance à tous les Messagers jusqu’à Mahomet, qui a finalisé leur commission, fermant ainsi toutes les voies vers Allah sauf à travers Mahomet. C’est pourquoi une fois qu’Allah a envoyé Mahomet, celui qui répond à Allah qu’il suit un chemin autre que celui de Mahomet, il ne sera pas accepté de lui. Allah le punira pour son rejet, lui demandera des comptes pour son déni, et le tourmentera pour avoir défié Son Livre.
Allah fait triompher l’islam sur toutes les autres religions… Expliqué par Ibn Kathir, ce verset affirme que l’islam est la seule religion acceptée par Allah. Elle signifie que l’islam est supérieur à toutes les religions des peuples de la terre, Arabes et non Arabes, qu’ils aient certaines idéologies ou qu’ils soient athées ou idolâtres.
Pour établir la suprématie de l’islam et des Arabes, Allah a dit : Les Arabes sont la meilleure communauté des justes…
La raison pour laquelle les Arabes sont les meilleurs de la création d’Allah est expliquée par Ibn Kathir. Il écrit qu’ils sont les meilleurs car ils attachent des chaînes autour du cou des incroyants, c’est-à-dire qu’ils les capturent dans des guerres et plus tard les forcent à adopter l’islam.
Par conséquent, les non-musulmans ne doivent pas avoir d’illusion : les islamistes ont le devoir de leur imposer l’islam, que ce soit pacifiquement ou par la terreur. C’est un commandement d’Allah. Que les infidèles le veulent ou non, les musulmans sont commandés pour établir la suprématie arabe dans le monde. Il s’agit d’un devoir obligatoire pour tous les islamistes. La suprématie de l’islam est la suprématie des Arabes.
Le verset 9:33 confirme encore que Allah a destiné l’islam à dompter toutes les autres religions et à triompher sur elles.
L’islam est la religion parfaite, elle va dominer toutes les autres religions… 9:33
Le Coran lui-même vilifie le multiculturalisme Kafir et établit le multiculturalisme islamique comme la doctrine suprême à suivre. Allah dit :La diversité culturelle est assignée par Allah, mais Mahomet est le seul dans le bon/droit chemin (l’islam). Il doit donc continuer à inviter les gens à l’islam… Les islamistes se battent dans le monde pour établir les règles de l’islam dans tous les domaines de la vie humaine.
Au Canada, en Grande-Bretagne, en Australie, aux USA, en France, aux Pays-Bas, au Danemark et dans la quasi-totalité des terres infidèles, les islamistes poursuivent obstinément leur projet. Ce qu’ils pourraient ne pas réaliser à travers le terrorisme islamique, ils vont l’accomplir à travers le lobbying politique. Cela est bien plus dangereux que le terrorisme islamique.
Nous avons appris leur tentative d’établir la charia au Canada, le succès de leur lobbying à mettre en oeuvre certaines dispositions de la charia au Royaume-Uni, et la mentalité servile de nombreuses banques occidentales à établir un système bancaire islamique parallèle, juste pour les islamistes et les Arabes. Le jeu des islamistes dans cette voie a connu tant de succès que presque tous les pays à majorité musulmane sont obligés d’introduire la banque et la finance islamique, des assurances islamiques, des fonds d’investissement islamiques, des tribunaux islamiques, des lois sur le mariage islamique, etc.
Pour forcer le monde occidental à adhérer à leurs revendications, les islamistes sont à l’oeuvre, leur programme bat son plein avec beaucoup d’aplomb. Les islamistes font du lobby non stop pour leur plan de "charia-isation" de l'Europe. On pourrait se demander pourquoi les islamistes sont tellement confiants quant à leur succès. La réponse est qu’ils ont une confiance inébranlable dans le Coran. Voici ce que le Coran dit :
Les croyants doivent faire la guerre aux infidèles et aux hypocrites et faire preuve de fermeté…
Allah a ordonné aux musulmans de combattre les mécréants avec l’épée, de lutter contre les hypocrites avec la parole et a annulé tout traitement plus indulgent envers eux. Mener un djihad contre les mécréants avec l’épée, et être sévère envers les hypocrites avec des mots. Cela signifie instaurer les lois pénales islamiques à leur encontre, la charia.
Ceci est le multiculturalisme islamique en action. Ce verset dit que les musulmans doivent utiliser la terreur pour imposer l’islam aux infidèles, lorsque cela n’est pas possible, utiliser la parole (qui est le lobbying) pour mettre en œuvre les lois de la charia. Sur un front, les terroristes islamistes travaillent à semer la terreur dans l’esprit des non-croyants, dans le même temps ce que l’on appelle les soi-disant islamistes modérés se joignent aux sessions de dialogue avec les infidèles, et leur soumettent leurs revendications. Le message est donc clair et net - si vous n’acceptez pas nos demandes pacifiquement, nous allons inviter les terroristes à obtenir ce que nous ne sommes pas en mesure d’obtenir par voie de négociation. Il s’agit d’une stratégie simple mais puissante de chantage, si seulement les politiciens infidèles « politiquement corrects » avaient lu et compris le verset ci-dessus. La stratégie du multiculturalisme islamique est là, dans le Coran, intégralement écrite, si les responsables politiques kafir occidentaux prenaient seulement le temps de lire le Coran.
Voici un autre verset pour submerger les kafirs : Les croyants (musulmans) doivent combattre les infidèles autour d’eux (les voisins) et témoigner de leur dureté…
Autrement dit, ce verset signifie Allah commande aux croyants de combattre les infidèles dans la zone la plus proche de l’État islamique, puis dans les zones les plus éloignées. Ibn Kathir écrit qu’un musulman complet est gentil envers les autres musulmans et durs avec les ennemis non musulmans. Dans la langue de l’islam, tous les non musulmans sont des ennemis.
Le verset ci-dessus dit tout - les musulmans ne peuvent jamais être les amis des non-musulmans, c’est juste impossible. Le multiculturalisme islamique ne peut jamais accepter le multiculturalisme kafir. Cela explique pourquoi il n’est tout simplement pas possible d’intégrer les islamistes dans une société occidentale.
Le Coran n’autorise pas les musulmans à s’intégrer aux non musulmans. Ceux des musulmans qui s’intègrent avec les non musulmans violent tout simplement le Coran, ils ne sont pas des bons musulmans. Le Coran appelle même ces musulmans des incroyants et Allah leur réserve un châtiment douloureux.
Le Coran (9:23) commande aux dirigeants islamiques d’imposer l’impôt jizya aux non-musulmans. Les apologistes islamistes résidant en terres infidèles justifient souvent cette taxe comme une source de revenus équivalente à la zakat pour les musulmans. Le Coran dit que cette taxe (jizya) est une mesure punitive qui vise à humilier les non musulmans et non pas seulement à accroître les recettes.
Nous pourrions penser que la jizya n’est tout simplement pas possible dans le monde d’aujourd’hui.
Les islamistes ne sont pas si stupides. Ils ont extrait la jizya des kafirs de bien d’autres façons. Cette méthode coercitive insidieuse de prélèvement de l’argent de la jizya n’a pas à être uniquement en espèces. Les mesures manipulatrices peuvent être : forcer les gouvernements infidèles à offrir des concessions aux musulmans dans l’emploi, l’octroi de bourses, des aides financières réservées exclusivement pour les jeunes chômeurs musulmans, en réservant des salles de prières pour les musulmans dans les immeubles abritant des institutions d’enseignement, des usines et des bureaux, le temps perdu dans ces prières, la réservation des piscines, des centres de remise en forme, des dispositions spéciales pour les musulmans pendant le jeûne du Ramadan, les centres de loisirs avec ségrégation des sexes juste pour répondre à la communauté islamique, et ainsi de suite.
Craignant la vengeance islamique (la terreur islamique) en terres infidèles, les gouvernements infidèles ont adopté plusieurs de ces mesures juste pour les apaiser. De telles concessions n’ont pas été offertes à d’autres groupes religieux. C’est juste une jizya furtive, qui ne dit pas son nom.
La liberté d’avoir des rapports sexuels libres avec des femmes infidèles (les femmes infidèles ne sont rien de plus que des esclaves sexuelles islamiques). Forcer les restaurants fast-food à servir de la nourriture halal, ou d’avoir une section halal. Forcer les fabricants, par intimidation, à abandonner la gélatine dans la nourriture islamique. La liberté de construire une mosquée dans chaque agglomération des terres kafir. Soumettre des demandes de fermer les centres de conditionnement physique mixtes parce que des islamistes vivent dans le quartier. Le droit d’ouvrir des centres de conditionnement physique islamique pratiquant la ségrégation des sexes. Le droit de forcer les autorités à fermer les piscines mixtes. La liberté de pratiquer la religion : faire du lobby pour instaurer des lois sur le mariage islamique, le droit d’avoir quatre épouses à tout moment. La liberté de pratiquer la religion : le droit de battre son/ses épouse/s. La liberté religieuse : le droit de prêcher le message du djihad appelant au meurtre des infidèles. Le droit de prendre des actions légales contre quiconque cite les versets meurtriers du Coran...
Il n’y a pas de fin aux revendications des islamistes. C’est la culture de l’islam, une fois qu’elle obtient un millimètre, elle exige un kilomètre.
Les efforts sincères des gouvernements infidèles européens pour intégrer la communauté musulmane ont été des échecs.
Alors que les autres minorités ethniques/religieuses comme les asiatiques ont réussi à s’intégrer ou à se fondre en douceur à la société multiculturelle du pays hôte, la communauté islamique n’a jamais réussi. La raison est très simple : l’islam ne peut pas se mêler avec le non-islam.
Peu importe les efforts des pays occidentaux, tous les "dialogues", notamment interconfessionnel, seront des échecs lamentables quand il s’agit de l’islam.
La notion de l"interconfessionnel" n’existe pas dans le vocabulaire islamique. Dans le monde islamique, il n’y a qu’une seule foi dans le monde, c’est l’islam, ce dialogue interconfessionnel avec l’islam est simplement impossible. Le multiculturalisme islamique signifie l’acceptation de la suprématie arabe et islamique.
Le terrorisme islamique n’est pas le problème le plus grave même s'il fait de nombreux morts. On ne luttera efficacement contre le terrosrisme islamique qu'en réglant de façon définitive le problème de l'islam.
Est-ce l'islam le problème ? Tout le suggère en effet. Quand on lit ce qu'écrivent les djihadistes, quand on les écoute, ils invoquent constamment ces éléments. Lisez les déclarations de Ben Laden. Il cite le coran en permanence, il n'arrête pas. Le véritable Islam, c'est celui des djihadistes. Ils n'interprètent pas mal le Coran mais ne font que le citer. La base de l'attrait qu'il exerce, c'est la pureté islamique. La base de la séduction jihadiste, c'est la pureté de l'islam. Ce sont les salafs, les vrais musulmans, les purs. Et ils en appellent aux musulmans qui ont un oublié cela. Ils leur expliquent : voilà l'islam véritable. Voilà ce que dit le Coran. Voilà ce que dit Mahomet et les écoles juridiques, voilà votre devoir de musulman, vous l'avez oublié. L'un des livres qui circulent le plus dans le monde musulman s'appelle « Djihad, l'obligation oubliée».
Le problème essentiel est l’islam, sous le déguisement du multiculturalisme islamique. Le terrorisme n’est qu’un outil des islamistes pour faire progresser l’hégémonie islamique, il en est de même avec le multiculturalisme islamique – un autre outil pour imposer l’islam à l’humanité entière. C’est un outil pour le djihad sans fin.
Ne pas être conscient de cette réalité et/ou ne pas réagir contre cette situation relève de la naïveté, d'un manque de connaissance, d'information et de moyen d'action pour le public mais relève d'une incompétence, d'un laxisme, d'une lacheté, d'un abandon ou pire d'une complicité pour les partis politiques, les hommes politiques et les dirigeants européens.
Pourquoi les dirigeants politiques laissent l'islam s'installer dans toute l'Europe comme au Danemark, en Belgique, en Angleterre et en France? Quel est le but de tout ceci ? Pourquoi est-il devenu pratiquement impossible de décrire la véritable nature de cette idéologie, dans les médias, que ce soit en France ou en Europe ? Et qu'est ce qui fait que nous sommes marginalisés, classés à l'extrême-droite, du seul fait que nous estimons qu'il y a un problème dans l'islam ?
Des forces non-musulmanes défendent l'islam et interdisent toute discussion sur les éléments de l'islam que les musulmans eux-mêmes utilisent pour justifier leur violence, et propager leur idéologie de domination. Ces forces ont sciemment décidé d'étouffer la discussion. Ces forces non-musulmanes escomptent avantages politiques et financiers du compromis passé avec le monde musulman.
Que ce soit par intérêt personnel à court terme, ou par calcul politique cynique, ils ne veulent pas empêcher la progression de l'islam. Ils ne veulent pas empêcher l'islamisation de la France et de l'Europe; et le pouvoir est entre leurs mains.
Pourtant ces hommes ne sont pas des imbéciles. Ou peut-être certains le sont-ils... George Bush cite sans arrêt la sourate 5:33 du coran,
"Quiconque tue un innocent, c'est comme s'il tuait tous les hommes". Mais il ne cite jamais le verset suivant, il n'a jamais vu le verset s5:34 "Ceux qui se battent contre Allah et son prophète seront châtiés par la crucifixion, ou l'amputation des membres opposés".
Qui est celui qui a montré ce verset à Bush, mais pas la suite ? Celui-là doit bien savoir ce qu'il y a juste après, et ce qu'il y a dans le reste du livre. Il doit savoir que toutes les écoles juridiques islamiques, toutes étant perçues comme orthodoxes dans le monde islamique, considèrent qu'il est de la responsabilité des musulmans dans le monde entier, de soumettre les incroyants, par la guerre si c'est nécessaire, tant mieux si c'est par d'autres moyens. Mais l'important est de les soumettre à la loi islamique.
Maududi, l'islamiste du pakistan, a déclaré : "Les incroyants n'ont strictement aucun droit de détenir le pouvoir où que ce soit sur la terre". "Et s'ils ont le pouvoir les musulmans ont le devoir de les évincer du pouvoir par tous les moyens possibles". Et c'est le programme qu'ils entendent appliquer.
Qu'est-ce qui empêche donc les hommes politiques occidentaux de reconnaître ces faits et de les admettre ? Ils ont bien un intérêt à ce statut-quo. Ils ont avantage à préserver les choses telles qu'elles sont mais pourquoi?
D'un point de vue musulman et des impératifs du djihad, nous avons évoqué la tromperie qui trouve son origine dans le coran. La sourate 3:25 dit bien qu'un croyant "ne doit pas prendre pour alliés des infidèles" ...à moins que ce soit pour "se protéger d'eux".
Quel sens cela a t'il? C'est une expression étrange, qui pourrait être ambigüe. Allons voir les commentateurs et ce que les musulmans en disent eux-mêmes. Voyons Ibn Kathir, l'un des grands commentateurs du coran. Il est du XV° siècles, ses écrits sont toujours lus aujourd'hui, et publiés par des saoudiens. Et il écrit : "La tromperie est autorisée quand les musulmans sont vulnérables ou en position de faiblesse. Ils peuvent tromper les infidèles, faire semblant d'être amis avec eux. Et il cite la tradition : "Nous leur sourions par devant, mais par derrière, nous les maudissons."
Tous ces gens suivent à la lettre un programme très clair. Ils ont clairement exposé leurs intentions, leurs motivations, leurs buts. Ils ne l'ont jamais dissimulé. De notre côté, c'est l'un des principes de base de la guerre, on ne peut vaincre un ennemi sans savoir ce qu'il cherche à faire, et comment.
Or, quand nous lisons le coran et l'analysons, c'est nous qui devenons coupables. C'est par racisme intolérance ou haine. Mais quand les djihadistes utilisent le coran et la sunna pour justifier leurs actes ou recruter de paisibles musulmans, on n'entend pas un mot des défenseurs de l'islam en Europe.
A t'on entendu des voix s'élever contre la lettre de Ben Laden aux pakistanais, dans laquelle il appelle au djihad pour renverser Musharaf ? Il cite 10 versets du coran, il les explique, et il invoque l'exemple de Mahomet. Il utilise les principes de l'islam pour démontrer l'illégitimité du régime de Musharaf.
A t'on entendu des associations occidentales protester ? A t'on entendu des associations musulmanes, en Europe, expliquer que Ben Laden déformait le Coran ou la tradition islamique et que tout était faux ?
Non bien sûr ! Et si on allait demander à un leader musulman "Pourquoi n'avez vous rien dit ?", il répondrait "Nous en parlons tout le temps, mais la presse n'en parle pas". Un mensonge d'un rare culot ! Car la presse adore les "musulmans modérés". La presse est avide de trouver des musulmans qui ne font pas sauter de bombes, pour les mettre à la une des journaux et des émissions de télévision. Quant aux dirigeants de tous nos pays, ils croient qu'un musulman qui ne prépare pas un attentat, c'est un modéré...
Quand les djihadistes invoquent l'islam traditionnel, pas de réaction. Mais quand des non-musulmans utilisent ces arguments, Oh ! C'est la levée de boucliers pour condamner le basphème, pour protéger les musulmans de ces viles accusations, et l'on entend les appels contre l'intolérance, l'ignorance et la haine!
l'Islam serait une religion de "paix". Pourtant, si l'on considère la totalité des conflits qui font rage actuellement sur notre planète, on peut dire sans se tromper que 98% d'entre eux ont pour origine des musulmans. Qu'ils soient tchetchènes, chypriotes turcs, kosovar, nigérians, soudanais, indonésiens, palestiniens, ivoiriens ou pakistanais, tous ces musulmans, livrent des guerres atroces qui n'épargnent pas les civils, bien au contraire.
Mais où est l'islam pacifique ? Je ne parle pas de musulmans pacifiques, je parle de l'islam pacifique. Il y a des musulmans pacifiques, mais où est l'islam théorique, théologique, qui n'appelle pas à la domination et à la soumission des incroyants ? Ca n'existe pas. Il n'a jamais existé. Nul ne la n'a jamais vu, mais beaucoup en admette pourtant l'existence.
La grande vulnérabilité des musulmans qui mènent une vie tranquille, c'est qu'ils n'ont aucune réponse islamique à opposer au message salafiste ou aux djihadistes qui disent : "Nous sommes les vrais musulmans, voilà l'islam véritable". S'ils veulent vraiment réformer leur religion, c'est cela qu'ils doivent faire. Il n'y a aucune autre méthode possible.
On peut toujours chercher mais en vain, une volonté de réforme de la théologie islamique, fondement du discours haineux, violent et suprématiste de l’islam.
Il est nécessaire et urgent d'imposer les règles suivantes aux musulmans vivant en Europe:
qu'ils respectent les valeurs de liberté d’expression, liberté de la presse, liberté de conscience, laïcité, mixité, égalité des femmes, et séparation du religieux et du politique ; lancer un programme d’éducation exhaustif qui sera diffusé dans toutes les mosquées et dont le but sera de dénoncer clairement et sans ambiguïté le djihad violent et toute idée de suprématie islamique ; exiger des leaders musulmans en Europe qu’ils renoncent définitivement à y importer la charia sous quelque forme, et qu’ils collaborent avec les forces de l'ordre pour identifier les djihadistes au sein de leurs communautés.
Imposer ces règles aux musulmans est une utopie.
Dans le débat public sur l’islam, à chaque fois que l’on évoque ce qu’il y a de plus problématique dans le Coran et dans la vie de Mahomet, les défenseurs acharnés de l’idéologie musulmane utilisent une série de mots clés, et dans un ordre bien précis. Lorsque l’on cite des faits peu honorables de la vie de Mahomet, comme la consommation de son mariage avec une fillette de neuf ans, ou bien le massacre de la tribu juive de Banû Quraïdza, on nous dit qu’il faut « contextualiser » ces faits et gestes.
Lorsque l’on cite des versets on ne peut plus explicites sur l’attitude violente à adopter face aux non-musulmans, comme le fameux « Verset de l’Epée », qui dit « Tuez les infidèles où que vous les trouviez », c’est encore en sommant les interlocuteurs de « contextualiser » que l’on tente de justifier l’injustifiable. Ensuite, quand on essaie d’énoncer un jugement clair sur la nature de l’islam, comme le fait Ayaan Hirsi Ali, en disant que l’islam prêche la violence, ou que l’islam est incompatible avec la démocratie, les demi-habiles dénoncent chez leur interlocuteur « l’essentialisation » de l’islam.
Simultanément, ils s’empressent de relativiser les incompatibilités de l’islam avec la démocratie en rappelant les méfaits du catholicisme d’il y a cinq siècles, comme l’Inquisition et les Croisades, ou bien les versets les plus obscurs de l’Ancien Testament, comme si la République en avait quelque chose à faire. Si l’on va encore plus loin, et si l’on avance que l’islam et l’exemple de Mahomet sont immoraux, ceux qui par ailleurs n’ont aucune pitié ni pour les femmes excisées en Afrique, ni pour les adultères lapidées en Iran, ni pour les apostats exécutés en Afghanistan se sentent blessés dans leur sensibilité et crient à « l’insulte » ou à la « diffamation ».
Alors, ils vous menacent d’un procès pour « provocation à la discrimination raciale », tout en vous accusant de ne rien savoir de l’islam, de « surfer sur la peur » et d’être « islamophobe ». Je vais essayer de déjouer tous ces pièges rhétoriques pour donner des armes intellectuelles à ceux qui voudront exprimer sur la place publique leur inquiétude par rapport au développement de l’islam en France.
Commençons par la sommation de « contextualiser ». Ceux qui dénoncent les intégristes comme de « faux musulmans » parce qu’il sortiraient des versets de leur contexte, ne remarquent jamais qu’au contraire, les intégristes rappellent sans cesse un contexte pour justifier leurs agissements. Les intégristes passent leur temps à contextualiser, c’est-à-dire à essayer de retrouver et de reproduire dans leur quotidien le même contexte que celui dans lequel Mahomet a pris telle ou telle décision, pour reproduire ensuite cette même décision.
L’exégèse musulmane fonctionne par analogie, avec le paradigme de la vie de Mahomet, « le beau modèle ». C’est patent dans les déclarations de Ben Laden, mais aussi dans les avis religieux sur des points aussi anodins que la manière de saluer les autres, ou s’habiller, ou se laver. Pour tout contexte présent, il existe un contexte-modèle dans la vie de Mahomet, qu’il faut copier pour être un bon musulman. L’appel au Jihad contre les mécréants va de pair avec un contexte : il faut définir le mécréant, et la situation d’autodéfense qui légitime la réplique violente.
Ce n’est pas sur le sens des versets dans leur contexte que différent les musulmans intégristes de ceux pacifiques, mais sur l’existence de ce contexte dans le présent. La question n’est pas est-ce qu’un musulman doit rechercher la réconciliation plutôt que la guerre lorsqu’il est agressé, non, la question est : le contexte d’aujourd’hui est-il le même que celui de Médine en 627 ? Lorsque l’assassin de Théo Van Gogh a décidé de le tuer, il n’a fait que reproduire ce qu’un fidèle de Mahomet, Muhammad Ibn Maslama, a fait lorsque le poète juif Ka’b Ibn Al-Achraf s’est moqué des femmes musulmanes : il l’a tué avec sa bénédiction. L’obligation de contextualiser les versets est parfaitement suivie par les intégristes !
Malheureusement pour l’islam, il n’y a pas de lois morales à suivre d’une manière non-contextualisée. Mahomet ne reprend pas les dix commandements de Moïse. La contextualisation est justement ce qui empêche l’émergence d’un islam pacifique, et non pas la manière par excellence de le prémunir contre la violence, car les appels à la miséricorde et à la bonté sont aussi contextualisés que les appels au meurtre !
En islam, la paix ne doit pas être cherchée à tout prix, d’une manière absolue, mais uniquement si l’on est en infériorité numérique. La miséricorde envers les non musulmans ne doit être pratiquée que si les mécréants ne sont pas hostiles aux musulmans. Les chrétiens et les juifs ne doivent être tolérés dans les sociétés musulmanes que s’ils se soumettent aux musulmans et acceptent le statut humiliant de dhimmis. A chaque fois que l’on vous objectera que vous sortez un fait de la vie de Mahomet de son contexte, répliquez que cet épisode est lui-même un contexte porteur d’un enseignement et d’une décision que le musulman croyant est appelé à reproduire.
L’islam est une doctrine. Une idéologie a une nature, elle n’a pas de libre arbitre comme un homme.
Quand on arrive, après moult efforts, à faire accepter que l’islam doit être un sujet d'étude et qu’il n’est pas très sympathique, ses défenseurs s’empressent d’amoindrir ses torts en rappelant les tâches d’autres religions ou d’autres doctrines, parmi lesquelles le christianisme a généralement leur préférence.
On rappelle les Croisades et l’Inquisition pour relativiser les guerres menées par Mahomet et la dureté de la charia. Cela aussi est une ruse rhétorique, pour deux raisons. Tout d’abord, cela ne diminue pas les torts d’une doctrine si d’autres se sont montrées tout aussi criminelles. Ensuite, on confond les faits historiques d’un certain groupe de chrétiens à une certaine époque avec l’enseignement fondamental du christianisme. Les agissements des croisés ou de Torquemada n’ont pas de valeur exemplaire, alors que les faits et gestes de Mahomet sont absolument paradigmatiques. L’enseignement des Evangiles n’est pas corrompu par les agissements criminels de certains chrétiens, alors que les actions guerrières de Mahomet sont le socle de l’enseignement musulman.
Quand on arrive à ce point du débat, souvent la discussion rationnelle cesse et les défenseurs de l’islam se retranchent dans une pose blessée, et commencent à crier au blasphème, à l’insulte et à la diffamation. Ils traitent ces propos de provocation à la haine raciale et accusent leurs contradicteurs d’islamophobie, en priant très fortement pour qu’un jour une loi soit votée en France pour interdire de critiquer le « beau modèle » Mahomet. Ici plusieurs précisions légales s’imposent : « Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation.
La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés. ». Wikipedia précise : « L’auteur de la diffamation peut s’exonérer de sa responsabilité en apportant la preuve des imputations alléguées ou en démontrant sa bonne foi.
Dans un arrêt rendu le 6 juin 2007, la cour d’appel de Paris rappelle les conditions inhérentes à chacune de ces possibilités d’exonération. Ainsi "la preuve de la vérité des faits diffamatoires doit être parfaite, complète et corrélative aux imputations tant dans leur matérialité que dans leur portée et dans leur signification diffamatoire". Quant à la bonne foi, "quatre éléments doivent être réunis pour que [son] bénéfice (...) puisse être reconnu au prévenu : la légitimité du but poursuivi, l’absence d’animosité personnelle, la prudence et la mesure dans l’expression, ainsi que la qualité de l’enquête".
Autrement dit, raconter la vie de Mahomet n’est pas une diffamation des musulmans qui s’en revendiquent, car les faits diffamatoires sont attestés par les sources musulmanes elles-mêmes, notamment par Ibn Hicham, qui a écrit la biographie la plus ancienne du prophète de l’islam, et qui, selon son traducteur Wahib Atallah, est la plus reconnue dans le monde musulman, la « biographie officielle » en quelque sorte. Voilà donc pour la diffamation.
A part l’accusation de diffamation, les âmes sensibles outrées par la dénonciation de l’exemple de Mahomet, accusent les critiques de l’islam de faire de « la provocation à la discrimination raciale ». Or la loi sur ce point est aussi très claire : « les images forcées, les termes déplaisants et les critiques ne suffisent pas à eux seuls à constituer une provocation ; il n’y a pas provocation en cas de formules trop générales, imprécises ou équivoques si ces propos ne conduisent pas à la haine ou à la violence. »
Dans ce cas précis, cette loi française est utilisée exactement par ceux qui seraient susceptibles de tomber sous son coup : Puisque l’islam politique vise l’instauration d’un système social discriminatoire, dans lequel les non musulmans auraient un statut inférieur (dhimmi), alors l’islam politique est « une provocation à la discrimination raciale en raison de la NON APPARTENANCE à une religion ».
L’islam politique, en intimidant, en menaçant, en harcelant les critiques de l’islam fait exactement ce qu’il accuse les autres de faire à son encontre.
On pourrait aller plus loin et méditer les implications de la dernière phrase de chacune des cinq prières qu’un musulman doit prononcer quotidiennement :« il n’y a pas d’autre divinité à part Allah ; nous Lui sommes sincèrement fidèles dans Son adoration et dans notre religion EN DEPIT DE LA HAINE DES MECREANTS ». Quelles sont les implications du fait de se répéter chaque jour que tous les non musulmans vous haïssent ? N’est-ce pas là un préjugé terrible à l’encontre de tous les non musulmans ? Comment vivre ensemble lorsque la prière obligatoire de chaque musulman finit sur l’affirmation gratuite que les mécréants le détestent, d’autant que le musulman doit répondre à l’agression d’une manière violente ?
Quelqu’un qui se répète solennellement cinq fois par jour que tous les non-musulmans lui sont hostiles ne finit-il pas par ne voir que des ennemis autour de lui, pour se sentir ensuite en droit de répliquer violemment ? Le réflexe musulman de crier à l’injustice et à l’oppression dès que l’on formule la moindre critique contre l’islam, ne serait-il pas purement pavlovien (réflexe par conditionnement), induit par ce ressassement quotidien ? Il me semble même qu’il pourrait être considéré comme une prophétie auto-réalisatrice : à force de se dire que les autres vous haïssent a priori, on finit par les regarder avec défiance, crainte et haine, ce qui ne manquera pas de provoquer en retour une réaction hostile de la part de ces mécréants, confirmant ainsi l’affirmation initiale. Le mécréant finit par donner les preuves de son « islamophobie » supposée injustement en premier lieu. « Tu ne m’aurais pas cherché si tu ne m’avais pas trouvé ».
J’en arrive au dernier terme utilisé dans le débat avec les musulmans, le terme "islamophobie". On sait déjà qu’il s’agit d’un terme forgé par Khomeini pour stigmatiser tous les critiques de l’islam et les assimiler au racisme mais l’islam n’est pas une race, n’est pas un groupe de personnes, mais une doctrine et à ce titre critiquable comme toute autre. Lorsque l’on accuse quelqu’un d’être islamophobe, on essaie simplement de le paralyser mentalement.
En tant qu'idéologie économique, politique et juridique, l'islam ne peut pas prétendre échapper à la critique en invoquant le droit qu’ont les personnes d’être protégées contre la discrimination et le racisme.
Lorsque l’on formule des critiques contre l’islam on est généralement mû par la crainte devant les agissement des musulmans et devant la politique des pays musulmans. On a une crainte de l’islam. Quand on nous réplique « vous avez une phobie de l’islam », on nous dit deux choses : d'une part vos craintes ne sont pas légitimes, il s’agit d’une crainte irrationnelle, d’une phobie ; d'autre part vous n’avez pas le droit d’avoir peur. Or on a toujours raison de ressentir quelque chose, nos sentiments ne sont pas coupables ou blâmables.
C’est l’expression de ces sentiments qui peut être sujette à caution. Ensuite, ces craintes sont légitimes, car fondées sur des faits vérifiables, que ce soit en lisant la biographie de Mahomet, ou en observant l’histoire de la civilisation musulmane et le sort des non musulmans.
En interdisant aux non musulmans d’avoir peur de l’islam, ses séides leur interdisent en fait de lui résister. Car le courage a pour condition d’existence… la peur ! Le courage n’est pas l’opposé de la peur, mais c’est "la crainte d’une chose jointe à l’espoir d’éviter le dommage causé par cet objet en résistant". Ceux qui n’ont pas peur, ne peuvent avoir aucun courage, ils sont insconcients du danger. J’ai peur de l’islam, mais j’espère éviter les dommages qu’il pourrait causer à la République, en résistant. Surfons sur notre peur, avec la planche de notre espoir pour la préservation de l'Europe.
Nous devons rappeler que nous nous battons pour certaines valeurs et pour une certaine civilisation. Beaucoup de gens n'hésitaient pas à dire pendant la guerre froide que le modèle de l'Ouest était présenté comme supérieur au modèle de l'Est. Nous défendons une civilisation contre l'islam, mais l'islam étant présenté comme une religion de paix, il est interdit de dire çà, comme on l'a fait avec le communisme. Parce que c'est la défense d'Europe contre l'islam certain considère qu'il est déraisonnable de parler de supériorité du modèle européen.
Les Européens sont égarés par les mensonges des politiques et des médias, alors que l'Europe représente bien des valeurs supérieures : liberté de conscience, égalité homme-femme, égalité des droits, plutôt que la discrimination institutionnelle fondée sur une idéologie religieuse : l'islam .
L'islam est incompatible avec la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen constitutive des lois de la République Française.
En outre, concernant la Déclaration universelle des droits de l'homme. Il est significatif que les valeurs contenues dans ce texte et approuvées partout dans le monde à l'exception des pays musulmans, viennent des principes de la civilisation occidentale. Nous devrions avoir le courage et la conscience d'en appeler aux musulmans sur cette base en disant : "c'est un meilleur modèle pour la société que celui que vous proposez".
Un porte-parole iranien a dit à ce sujet : "la Déclaration des droits de l'homme est une manifestation des valeurs judeo-chrétiennes et nous, musulmans, nous les rejetons". Et ils ont signifié ce rejet par la Déclaration des droits de l'homme du Caire, qui stipule que toutes les lois sont soumises à ...la sharia coranique.
L’absence de réaction des hommes politiques européensencourage les musulmans à continuer et jette de l’huile sur le feu ! mais elle le fait de façon relativement discrète, sournoise, perverse, mais terriblement destructrice . Et c’est ce qu’on choisi – de délibérément et manière perverse - nos tenants du relativisme culturel et du multiculturalisme, nos capitulards et nos néo-munichois adeptes forcenés de la paix à tout prix qui jettent sournoisement, et en permanence de l’huile sur le feu en étouffant la vérité, en bridant la liberté d’expression, en étouffant la nécessaire révolte de l'occident et en abaissant en permanence le seuil de tolérance à l’intolérance. En voulant sauver la paix à tout prix, ils ne sauveront rein, auront la guerre et le déshonneur car c’est une dangereuse illusion de croire qu’on puisse négocier avec un musulman au départ d’une position de faiblesse : on ne fait que s’enfoncer d’avantage dans celle-ci, tandis que les sectateurs de Mahomet ne cesseront de nous en demander plus et plus, avant de nous donner – quels que soient les gages que nous auront donné à ceux qui nous ont désigné comme ennemis à détruire, quoi que nous fassions - l’hallali ! Au contraire, en ne réagissant pas à temps, nous rendrons celui-ci d’autant plus inéluctable !
Percer l’abcès dès maintenant est donc une nécessité vitale : certes, cela entraîne des risques d’escalade, mais la question de l’escalade se posera de toute façon, et de manière encore bien plus cruelle si nous ne faisons rien, car nous seront d’autant plus affaibli le jour où nous devrons y faire face.
Que nous fassions quelque chose ou que nous ne fassions rien, nous n’éviterons pas la poursuite des intimidations de la part du monde musulman ! Réagir ne peut donc nous être - in fine - que salutaire, car cela finira par obliger nos gouvernements à prendre leurs responsabilités. Il y a donc urgence à ce que les Européens prennent conscience du péril musulman et se réveillent.
Le premier de tous les devoirs moraux est un impératif catégorique, un devoir moral qui s’impose à tout humaniste qui se respecte et qui prime, sans discussion possible, tous les autres : celui de la légitime défense ! Doit on se laisser phagocyter? La France, l'Europe ne sont pas une terre d'islam. Pour notre propre survie, face à un prédateur, il faut que nous devenions nous-mêmes menaçants envers celui-ci, et que nous le lui fassions savoir ! Nous le devons à nous-mêmes et à nos enfants.
Il est temps que les peuples d'Europe disent clairement leur refus de l’islam, de tout l’islam pour que la peur commence à changer de camp. Si nous ne montrons pas nous-mêmes l’exemple, comment pourrions-nous inciter ceux qui sont « modérément musulman » et n’osent brandir l’étendard de la révolte contre l’islam dans leurs pays à le faire ? C’est une illusion de croire que les hommes politiques occidentaux le feront spontanément car ils sont tenus en laisse par la Trilatérale ou/et le Bilderberg group dont la préocupation première est l'établissement du nouvel ordre économique. A leurs yeux la finance et l'économie sont prioritaires sur le religieux mais où ils font une grave erreur c'est que l'islam est bien davantage qu'une simple religion, c'est une idélogie complète qui se dressera contre ce nouvel ordre économique mondial dès que les forces arabo-musulmanes seront numériquement supérieures en Europe.
Du fait de l'inaction de nos gouvernements, l'islam deviendra très probablement un jour, spirituellement et démographiquement la première religion en France. L'islam représente une menace réelle qu'il faut combattre jusqu'à sa disparition totale du sol européen afin de préserver notre identité et notre héritage. La France et l'Europe doivent se battre pour préserver la population européenne de l'islamisation des esprits.
La lutte contre l'islam est un impératif démocratique et civisationnel. Nous devons défendre nos valeurs particulières car l'islam est l'ennemi des européens. L’ouverture des frontières aux immigrés provenant des pays arabo-musulmans s’est faite quelques années seulement avant que la ré-islamisation de ces populations ne s’engageât, c’est-à-dire à partir de la révolution iranienne de 1979. Ce processus, les musulmans installés en France l’ont connu et il ne fait que progresser par l’apport constant de nouveaux immigrés. Cette présence de plus en plus affichée de l’islam en France a entraîné un processus de conversion d’un certain nombre de Français à cette religion.
Beaucoup d’immigrés de cette religion refusent l’intégration mais en réalité le Coran interdit aux musulmans de s'intégrer dans une société non-islamique. Aujourd'hui l'intégration est devenue une notion parfaitement dépassée à moins qu’elle ne soit considérée par les plus perspicaces comme une arme de conquête. L'intégration déguisée pourrait être alors un moyen de noyoter la société, les partis politiques. Une intégration de façade pour mieux arriver aux postes clés par entrisme politique afin de favoriser l'implantation de l'islam.
Les musulmans revendiquent une place de plus en plus grande pour leur culture politico-religieuse et veulent imposer les règles de celle-ci à l’ensemble de la société . En effet, un musulman ne peut vivre pleinement sa foi que dans une société musulmane. Il ne peut pas manger n’importe quelle nourriture, il doit prier cinq fois par jour, il doit respecter les fêtes musulmanes, il ne doit pas fréquenter de femmes ni même les voir, etc. D’où le refus de la mixité, la demande récurrente de l’introduction de la viande halal dans les écoles, le refus de certains élèves de chanter ou de dessiner des personnages, la revendication de pouvoir porter le voile dans tous les lieux publics y compris dans les établissements scolaires, la revendication d’heures de pose dans les entreprises afin de pouvoir prier, la revendication de ne pas avoir d’examens ou de contrôles pour les élèves le jour de leurs fêtes, etc.
Les musulmans considérant posséder la religion la plus juste, puisque créée par le dernier des prophètes, le «sceau des prophètes», Mahomet, pourquoi devraient-ils s’intégrer à une société qui, pour eux, correspond à la tolérance de l’homosexualité (punissable de la peine de mort dans les pays appliquant la charia), à la tolérance de l’adultère (punissable de la peine de mort suivant le Coran, sourate IV, verset 15), à la tolérance des rapports sexuels entre célibataires de sexes opposés, ce qu’ils appellent: «la fornication» (punissable de cent coups de fouet , sourate XXIV, verset 2).
En outre, notre société pose le principe de l’égalité des droits entre les hommes ce qui est parfaitement incompatible avec l’islam, puisque le Coran stipule qu’un musulman est supérieur à un non-musulman (sourate III, verset 139), elle prône aussi l’égalité entre les femmes et les hommes ce qui est également contraire au texte du Coran (sourate IV, verset 34), etc.
En résumé, notre société est décadente et perverse.
La solution à tous ces maux est l’islam . Nous voyons donc que la présence d’une communauté musulmane de plus en plus importante en France entraînera automatiquement de plus en plus de pressions pour que la société française évolue une société islamique. Les émeutes de novembre 2005, véritables «pogroms anti-français», menées par des afro-maghrébins à majorité musulmane aux cris: «Allahou Akbar!» et de «Sarkozy sale juif!» , mettent en évidence le fait que la France est en état de guerre depuis plusieurs années.
Cette guerre qui n’engage pas des corps d’armées et des divisions blindées est un conflit plus politique que militaire et a pour but de vaincre l’adversaire par sa dé-légitimation. Ce conflit de basse intensité se caractérise par la mort de citoyens tout simplement parce qu’ils sont là au mauvais moment , par des agressions, des incendies de voitures qui atteignent une moyenne journalière de plus d’une centaine d’automobiles , des destructions régulières d’équipements et d’établissements publics, des destructions d’établissements privés, des agressions répétées et régulières contre les forces de police, les pompiers et généralement de tout représentant de l’Etat ou des collectivités locales. Il se caractérise aussi par le développement de territoires que l’Etat ne contrôle plus et de la remise en cause des valeurs républicaines comme la laïcité et la mixité.
Le terrorisme intellectuel est l’arme la plus utilisée dans le conflit que connaît la France, il prend la forme du politiquement correct, d’accusations de racisme parfaitement non fondées, de la volonté de culpabiliser la France pour son passé colonial.
L’objectif est toujours le même: rendre illégitime le pouvoir politique afin de le conquérir ou tout au moins de le contrôler, ce qui est en passe de se réaliser. Dans ce conflit, aucun citoyen n’est à l’abri, car les crimes, les agressions, les destructions et les troubles de toutes natures se perpétuent au sein de la population civile afin d’y détruire les liens sociaux. L’objectif est également de parvenir à asseoir le contrôle sur une partie des institutions de la société française, l’école étant une cible privilégiée. Il arrive que ce conflit ait des poussées de fièvre qui le généralise géographiquement et l’aggrave momentanément comme lors des émeutes de novembre 2005. Les incendies de voitures, d’autobus, d’écoles et de bâtiments divers que causèrent ces émeutes ne furent pas des nouveautés en soit, ce furent l’ampleur et la durée de ces événements qui en ont fait l’originalité.
Les émeutes urbaines des "jeunes" des cités comme en novembre 2005 ont des conséquences économiques et fiscales, le coût des dégâts subis et de la paix sociale dans les banlieues émeutières devant être financé d’une manière ou d’une autre, c’est-à-dire par les contribuables.
Les dernières émeutes médiatisées qui ont eu lieu dans la commune de Villiers Le Bel (95) sont encore dans les esprits. Récit de ces événements :
Deux "jeunes" abrutis, sans casque, roulant trop vite perdent le contrôle d'une mini-moto et viennent se fracasser contre un véhicule de la Police nationale en patrouille dans le quartier. C'est le début d'un scénario devenu trop classique: les "quartiers" d'embrasent au sens propre. Les jeunes mettent le feu et les magasins, les écoles, médiathèque, bibliothèque, commissariat, trésorerie générale et bien sûr les véhicules partent en fumée. C'est également l'occasion de "bouffer du bleu" comme explique gentiment à des journalistes un "jeune" (un de ceux que N. Sarkozy, il n'y a pas si longtemps – quand il avait besoin des voix des J-M Le Pen – appelait des "racailles"). Les deux "jeunes" morts dans l'accident de la mini-moto, Moushin et lakami, ont été enterrés dans leur vrai pays l'un au Maroc, l'autre au Sénégal.
Les événements de Villiers Le Bel marquent une nouvelle étape dans les affrontements puisque les policiers ont été tirés à vue, avec des armes à feu de gros calibre (arme de poing de 9 mm, fusils à pompe tirant des projectiles -de cartouches Brenek- utilisés pour la chasse au sanglier). "Les racailles justifient ces actions : "de toute façon c'est la faute des flics... ils sont venus avec des Flash-ball. Quand ils ont vu ça, les jeunes ont eu la rage. Ils voulaient tuer un flic". Un commissaire de Police qui voulait naïvement parlementer avec les émeutiers a été frappé à coups de barre de fer et se retrouve avec trois côtes et dentition cassées, fracture orbitale, multiples hématomes. Chez les policiers de la CRS 43 il y a eu 77 blessés dont 5 graves tandis qu'aucun blessé chez les émeutiers.
Le Commandant de la CRS 43 basée à Chalons, Gilbert Siniscalco, raconte: "Nous nous sommes retrouvés face à des gens déterminés et organisés. Ils étaient très nombreux et mobiles. Par rapport à ce que nous avons pu connaître à une époque, nous avons eu affaire à des individus armées qui n'hésitent plus à se rapprocher de nous et à faire feu... Nous étions encerclés par 300 casseurs armés et déterminés, ils avaient des barres de fer, des cocktails Molotov, des fusils de chasse, des armes, des bombes lacrymogènes, des boucliers et d'énormes pavés... Les trois premiers fourgons qui se sont retrouvés face aux agresseurs ont été pulvérisés. Nous n'avions aucune solution de repli car nous étions enerclés. Le plus terrible a été de constater que ces jeunes sans foi ni loi étaient prêts à nous lyncher". [je veux bien pour le "sans loi" mais leur "foi" elle, est bien dans l'islam].
La dimension ethnique et religieuse est évidente. Certains policiers et journalistes ont témoigné de la présence sur place de plusieurs individus barbus venus "aider" leurs "frères musulmans".
Voici maintenant l'extrait d'une lettre d'un policier de la BAC 92 envoyé en renfort à Villiers-le-Bel pendant les émeutes :
« Dimanche dernier (25 novembre), un enc… a tiré avec un fusil de chasse sur les collègues. Visant à plusieurs reprises les jambes des fonctionnaires porteurs des boucliers (première ligne), ces derniers se sont effondrés, les collègues de derrière étant à découvert. Le tireur se trouvant à une distance de 10 mètres. Le tireur aurait pu être descendu… d’ailleurs plusieurs fonctionnaires auraient dégainé leur arme de service. Mais ils ont eu l’ORDRE d’un officier de ne surtout pas tirer, mon Dieu, catastrophe pour sa carrière… En tout cas la grande hiérarchie recherchait le nom de cet officier flipette pour le FÉLICITER… oui, oui, pour le FÉLICITER car il a su “éviter un second carnage”… Résultat: 121 collègues blessés en 2 jours. Car bien sûr, le lendemain, il y avait de nouveau le tireur au fusil de chasse accompagné d’un comparse au fusil à pompe… et toujours l’ordre de ne pas tirer. Merci l’Etat, merci la hiérarchie.»
Pour les Français qui n'ont toujours pas compris ou refusent de comprendre, l'enseignement de ces événements a été tiré par un policier de la CRS: "c'était la guerre".
Ce conflit de basse intensité est aussi une guerre asymétrique. Car pour le moment les moyens sont encore disproportionnés entre ceux de la République française et ceux des délinquants. Le principe de la guerre asymétrique consiste à attaquer un adversaire beaucoup plus puissant que vous et de parvenir à le paralyser idéologiquement, l’empêchant ainsi d’utiliser la totalité des moyens dont il dispose.
Il est fort possible que dans l’avenir, ce conflit de basse intensité que connaît la France ne mute en une véritable guerre civile permanente. Les stocks d’armes de guerre découverts régulièrement dans les banlieues, comme en décembre 2005 à Clichy-sous-bois, commune où ont débuté les émeutes de novembre 2005, démontrent l’existence d’un danger très réel de guerre civile. Cette population arabo-musulmane veut tout naturellement prendre une partie du pouvoir politique et pour cela n’hésite pas à utiliser la force armée en accord avec la charia coranique.
Avec des musulmans qui représenteraient, en 2025, 25% de sa population, la France atteindrait un seuil de non-retour et dans cette perspective, si les prévisions démographiques se réalisent, les musulmans devraient à un moment donné prendre le contrôle politique de la France. En effet, l’accroissement du nombre de musulmans en France s’accompagnera d’une prise de conscience de leur poids politique et d’une volonté de détenir les instances représentatives du pays; conscience qui a déjà pris naissance lors des manifestations de 2004 contre la loi sur les signes religieux à l’école, lorsque des femmes voilées brandissaient leurs cartes d’électrices.
L'islam ne sera jamais laïc ou démocrate. Le Coran ne parle pas de démocratie ou de laïcité. Toutefois la démocratie en France va permettre à L'islam de prendre le pouvoir.
Nous pouvons déjà prévoir qu'un jour dans les villes où la population est à majorité arabo-musulmane, les maires seront arabes musulmans et progressivement certaines régions entières tomberont. Alors, des enclaves musulmanes se formeront et se déclareront autonomes ou indépendantes au nom du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. La Charia sera instaurée dans ces enclaves autoproclamées « république islamique » et les non-musulmans auront le statut de dhimmi et seront « invités » à se convertir ou à quitter la zone au plus vite. Il sera déjà trop tard. L'Onu enverra une force armée pour aider les populations musulmanes à se "libérer" de l'oppresseur français? Nous aurons les mêmes réactions internationales que lors de l'indépendance du Kosovo!
Rachid Yahou, chroniqueur sur le site kabyle afrique-du-nord.com, nous éclaire sur le statut de dhimmi.
« La dhima est un accord conclu entre les gens du livre (les dhimis), chrétiens et juifs et les musulmans. Celui-ci accorde hospitalité et protection. Toutefois, une contrepartie est conditionnée. En effet, les juifs et les chrétiens doivent respecter la domination des musulmans.[…] lorsqu’un différent surgit entre un musulman et un juif, on fera appel à un notaire qui signifiera au deuxième cité qu’il est dans le tord le plus total et qu’il doit reconnaître son erreur car le musulman ne se trompe...jamais ! » http://www.islamisation.fr/
D’un point de vue géostratégique, l’apparition d’une France musulmane bouleverserait les données. Le fait que les musulmans prennent à terme le contrôle de la cinquième puissance mondiale avec sa force nucléaire entraînerait le risque d’un renversement d’alliance avec les pays anglo-saxons. Si les relations entre la France et les Etats Unis ont connu des crises, les mêmes principes démocratiques et les mêmes valeurs culturelles leur permettaient de surmonter ces crises et de rester alliés. Ce ne sera plus forcément le cas si la France devient majoritairement musulmane.
L’évolution de la politique française vis-à-vis de la situation au Proche-Orient serait inéluctable. Une France musulmane ne pourrait qu’accentuer une politique étrangère pro-arabe et anti israélienne.
L’anti-américanisme qui s’est développé en France ces dernières années ne devrait pas rendre très difficile ce retournement d’alliance dans une opinion déjà conditionnée par les médias à voir dans les Etats Unis les causes des maux de ce monde.
L’islamisation ne se cantonnera pas à la France, elle se poursuivra en Europe, comme les Frères musulmans le prévoient , et la France ne serait que le premier maillon d’une série de pays européens à se transformer en pays musulman, d’autres états la suivront: la Belgique, les Pays-Bas sont les mieux placés pour connaître ce scénario. Dans cette perspective, l’Union européenne s’ouvrirait non seulement aux Turcs, mais aussi aux pays du Maghreb et de l’Afrique du Nord: l’Eurabia deviendra ainsi une réalité concrète et signera la fin de la civilisation occidentale en Europe.
L’avenir de la France se jouera dans les trente prochaines années parce que l’islamisation s’inscrit plus dans son avenir que dans son présent. Sa survie dépendra de la capacité des responsables politiques français à avoir le courage de reconnaître le danger et à avoir la volonté de le combattre. Le pays où vivront nos enfants et nos petits-enfants aura un visage différent selon que cette volonté existe ou non. Malheureusement pour nous, européens, je sais que cette volonté politique de combattre l'islam n'existe pas. Nous sommes les spectateurs impuissants du grand suicide assisté de notre bonne vieille Europe.
Pourquoi les politiciens européens ont ils tellement peur d'offenser les musulmans? Pourquoi la critique de l'islam est-elle tabou? Les politiciens ont ils peur des retombées économiques et des possibles même probables répercussions violentes? Les politiques tronquent notre liberté et notre avenir pour ne pas avoir à affronter la réalité en face alors que leur premier devoir est de protégé notre civilisation.
Les musulmans ont tenté d'établir leur villégiature en France lorsqu'en 732 Charles Martel stoppa leur progression. Aujourd'hui, la France n'a plus de Charles Martel.